Capots ouverts, monteurs vrombissants, belles mécaniques… L’exposition Auto Passion a réuni les fous du volant à Alençon (Orne) à la Halle aux blés, et sur deux places de la ville dimanche 15 septembre 2019.
Près de 150 véhicules ont répondu à l’appel de l’automobile club de l’Ouest, organisateur du rendez-vous. Près des voitures on retrouvait des nostalgiques, des passionnés, ou des parents voulant transmettre à leurs enfants, l’esprit de l’époque des belles voitures et des mécaniques bien huilées.
L’exposition permet aux visiteurs de faire remonter des souvenirs aux plus grands. Comme cette passante tournant autour d’une Ford pour prendre une photo pour sa maman :
Ma mère a eu ça. On allait à la mer avec… Mais la banquette était dévissée, à chaque fois qu’elle avançait, on glissait, ça rappelle des souvenirs ! »
Mustang et Ford GT
Les places Masson et Foch d’Alençon étaient remplies de véhicules de passionnés, notamment beaucoup de Ford Mustang ou de Ford GT 40. Devant un des moteurs ouvert, un collectionneur commente :
Là-dessus la mécanique est facile, on peut facilement y accéder. Pas besoin de passer par-dessous la caisse, mais on est presque au ras du sol ! »
Sous la halle aux blés, de nombreux véhicules d’exception, non roulants, étaient aussi exposés. Une dame arrivée par hasard à l’exposition s’approche d’une Mustang :
Je tombe toujours par hasard sur les expositions de vieilles voitures. Je passais par Alençon et je me suis arrêtée, regardant le véhicule, elle commente, elle est propre celle-là, la peinture a l’air presque neuve ! »
Un autre passionné qui a pu jeter un coup d’œil sous le capot confirme que les pièces sont aussi bien conservées. A croire qu’on ne sait pas comment elle a pu arriver là.
Toutes les voitures avaient à leur manière, une histoire bien particulière à raconter aux visiteurs qui se penchaient sur elles.
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Karine Meslin, responsable de Vire avenir, Mathilde Lecourt infirmière à Saint-Lô, Zoé Roussel, président de l’USM Vire athlétisme et Cyril Marliot, médecin de la coordination hospitalière de Saint-Lô, une unité chargée d’organiser le don d’organe.
Née à Saint-Lô, l’opération Dotis (Don d’organes et de tissus) menée par la coordination hospitalière que dirige Cyril Marliot, médecin au centre hospitalier de Saint-Lô, est reconduite cette année. Mais son rayonnement s’élargit puisque 10 villes sont partenaires. Un point positif pour le médecin qui rappelle :
Aujourd’hui nous sommes 25 médecins pour parler à 2.5 millions de personnes ».
La mobilisation est d’autant plus importante que la pénurie d’organes est de plus en plus importante. Pour la première fois en 2018, le nombre de greffes a baissé.
Mais les Dotis ne poursuivent pas l’objectif d’inciter à donner. Leur rôle porte sur l’information. Cyril Marliot continue :
Nous sommes un relais d’informations uniquement. Nous sommes là pour faire respecter la volonté de chacun »
Et afin de remplir cet objectif, un guide vient d’être publié sur les idées fausses qui collent au don d’organes. En première ligne des idées fausses : la nouvelle loi qui ne nous laisserait plus libre de choisir. C’est faux.
Le travail des soignants est de faire respecter la volonté de chacun »
Rendez-vous le 28 septembre
Mais encore faut-il s’informer pour adopter les bons comportements. Samedi 28 septembre, les bénévoles viendront à la rencontre des Virois pour expliquer tout cela. Un village sera installé sur une partie du parking du Château à Vire Normandie (Calvados). Dès 14h, des animations seront proposées : école de batterie, jeux en bois de la ludothèque, zumba. La CPAM tiendra un stand pour parler du dossier partagé.
À partir de 17h, il sera possible de prendre le départ d’une Dotis run. Un circuit de 5 km praticable en famille a été élaboré par Zoé Roussel, président de l’USM Vire Athlétisme. 5 autres marches comme celle-ci auront lieu simultanément dans des villes normandes.
Les inscriptions sont nécessaires. Elles doivent se faire sur le site Lesdotis.fr. Le tarif est de 5 €.
On peut également noter que Le Crédit agricole de Vire Normandie s’associe à l’opération. Une matinée d’information sera proposée entre 10h et 12 h ce même samedi 28 septembre.
Du mercredi 11 au samedi 14 septembre s’est déroulé la 21e édition du Festival de la fiction de La Rochelle. A cette occasion, on a pu voir défiler sur la « croisette » du port une soixantaine d’acteurs, actrices, réalisateurs, producteurs et patrons de chaîne TV venus de toute la France et d’Europe. Une soixantaine de téléfilms et séries a également été projetée.
Mais le Festival de la fiction c’est aussi une compétition et cette année 19 récompenses ont été décernées. 43 œuvres étaient en lice dont 26 œuvres françaises inédites, 12 séries et films européens, et 5 séries francophones étrangères.
L’ensemble des séries et téléfilms sera diffusé sur les chaines de télévision françaises dans les mois à venir.
Le meilleur téléfilm
Temps de chien d’Edouard Deluc. Avec Philippe Rebbot, Pablo Pauly, Elodie Bouchez, Laure Calamy, Jean-Luc Bideau, Brigitte Fossey, Solène Rigot.
Jean, la cinquantaine, capitaine de bateau mouche sur la Seine, se retrouve au chômage suite à un problème d’alcool qu’on ne lui pardonne pas. Il enchaîne les déboires professionnels, financiers, sentimentaux. De galères en galères, viré de chez lui pour cause d’impayés et de fraude à la sous location, il trimbale sa carcasse et ses trois enfants de sofa en appartements, à la faveur des opportunités qui se présentent à lui. Il va finir par trouver refuge quelques jours chez sa filleule partie en voyage. C’est là qu’il rencontrera Victor, jeune musicien, en galère lui aussi, à qui l’on demande de mettre sa poésie de côté pour enfin se confronter au monde réel. Il deviendra au fil du temps le compagnon d’infortune de Jean.
La meilleure série 52′ / 90′
Une belle histoire de Nadège Loiseau. Avec Sébastien Chassagne, Tiphaine Daviot, Louise Monot, Ben, Juliette Navis, Jean Charles Clichet, Thierry Neuvic, Andréa Ferreol.
Une Belle Histoire raconte les routes croisées, rythmées et imprévisibles de trois couples, trois hommes et trois femmes en quête de ce qu’on appelle le bonheur quand on est jeune, l’équilibre quand on l’est moins. Que faut-il sacrifier pour réussir son couple ? Telle est la question que pose sans cesse, avec la légèreté de la « dramédie », Une Belle Histoire. Dans cette série, le chemin conjugal est semé d’embûches, de surprises bonnes et mauvaises, de quiproquos générateurs de comédie, d’accidents générateurs de tragédies, avec, en guise de ceinture de sécurité, l’amitié.
La meilleure série 26′
Mental de Slimane-Baptiste Berhoun. Avec Alicia Hava, Louis Peres, Lauréna Thellier, Constantin Vidal, Nicole Ferroni, Riad Gahmi, Husky Kihal, Clément Naslin, Guillaume Cloud Roussel, Léo Grêlé, Nadia Richard, Inès Melab, Pauline Drach, Salif Cisse, Ayumi Roux.
Bienvenue à la clinique pédopsychiatrique des Primevères. Marvin, 17 ans, plus habitué aux gardes à vue qu’aux examens médicaux, est interné suite à une décision de justice. Il ne comprend pas du tout ce qu’il fait là et le fait bien sentir aux autres pensionnaires et à l’équipe soignante. Pourtant, avec Mélodie, Simon et Estelle, en thérapies depuis quelques semaines, ils vont bousculer le quotidien de la clinique trouvant au passage une forme d’équilibre bien à eux. Entre avancées et rechutes, c’est bien cette nouvelle amitié qui les guérit mieux que n’importe quelle pilule.
La meilleure série Web et Digitale
Lost in Traplanta de Mathieu Rochet. Avec Kody Kim.
Atlanta. Un français un peu lunaire se fait larguer par une meuf du coin. Le seul moyen de la séduire ? Retrouver et reformer Outkast, le groupe mythique d’Atlanta, en break depuis une décennie. Mal renseigné mais très volontaire, Larry part à la rencontre des habitants et des acteurs de la scène musicale de la ville, devenue en quelques années la nouvelle capitale universelle du Rap. Entre poids lourds du Dirty South, illustres inconnus et jeunes loups de la Trap Music, il se retrouve en brasse coulée dans le milieu du Hip Hop local. Va-t-il arriver jusqu’à l’île secrète du Funk, où se planquent Big Boi et Andre 3000 ? Ou se noyer les eaux troubles de la Trap Music ?
La meilleure fiction européenne
Arde Madrid de Paco León. Une production MOVISTAR+. Avec Inma Cuesta, Paco León, Debi Mazar, Anna Castillo, Julián Villagrán, Ken Appledorn, Osmar Múñez, Fabiana García Lago.
Le Madrid Franquiste des années 60. Ana Mari est une femme loyale et pleine de valeurs qui apprend aux jeunes femmes comment devenir de bonnes mères au foyer. Le gouvernement lui confie alors la mission d’espionner Ava Gardner et ne lui laisse pas le choix de refuser cette mission périlleuse. Elle et l’insouciant Manolo, embauché pour être le chauffeur d’Ava, doivent dès lors se faire passer pour mari et femme. Le style de vie très libertin d’Ava est à l’exact opposé des codes moraux d’Ana Mari. Au milieu de tout ce tumulte, elle réalise peu à peu qu’elle est en train de succomber au charme de Manolo.
Prix spécial du Jury Fiction Européenne
Invisible heroes de Mika Kurvinen et Alicia Scherson. Avec Pelle Heikkilä, Sophia Heikkilä, Ilkka Villi, Aksa Korttila, Juan Cano, Mikael Persbrandt, Sönke Möhring, Cristián Carvajal, Gastón Salgado, Néstor Cantillana, Paola Lattus.
Basée sur une histoire vraie, la série Invisible Heroes revient sur les actions héroïques menées par le diplomate finlandais Tapani Brotherus. Il a risqué sa carrière, sa liberté et sa vie pour venir secrètement en aide à plus de 2 000 citoyens Chiliens dont les vies étaient menacées suite au coup d’état dirigé par le Général et futur dictateur Ausgusto Pinochet en 1973, leur permettant ainsi de se refugier sans risque en Europe.
La meilleure fiction francophone étrangère
Helvetica de Romain Graf. Avec Flonja Kodheli, Ursina Lardi, Roland Vouilloz, Çun Lajçi, Lisa Chapuisat, Arben Bajraktaraj, Yoann Blanc.
La nouvelle présidente de la Suisse œuvre pour libérer des otages retenus au Yémen. Elle est prête à tout pour arriver à ses fins. Car même dans le pays le plus tranquille du monde, les affaires troubles se règlent en coulisse et les ambitions politiques se nourrissent de la violence. Mais Tina, femme de ménage du Palais fédéral, va enrayer ce subtil engrenage. Et si une simple nettoyeuse parvenait à déjouer une gigantesque affaire d’État ?
La meilleure réalisation
Simon Bouisson pour Stalk. Avec Théo Fernandez, Carmen Kassovitz, Pablo Cobo, Yasin Houicha, Rio Vega, Manon Valentin, Azize Diabate, Clément Sibony.
Lucas alias LUX, un jeune surdoué du code étudiant en école d’ingénieur, « stalke » les étudiants qui l’ont humilié au week-end d’intégration, pour mieux intégrer leur bande et se venger. Il devient vite celui qu’il a toujours rêvé d’être avant que tout se retourne contre lui.
Le meilleur scénario
L’agent immobilier de Etgar Kerest et Shira Geffen. Un scénario de Etgar Keret et Shira Geffen. Avec Mathieu Amalric, Eddy Mitchell, Nicole Shirer, Ixyane Lété, Michelangelo Marchese, Yoann Blanc, Félix Vannoorenberghe, Juliane Lepoureau, Philippe Jeusette, Sarah Adler.
Olivier, un agent immobilier sans le sou hérite à la mort de sa mère d’un immeuble en plein Paris. Enfin il va pouvoir payer la pension de son ex-femme, ne plus répondre à ses SMS incessants ni squatter les appartements qu’il essaie de vendre… Mais loin de constituer la solution à la misère qui est la sienne, cet héritage devient une véritable plaie, suscitant les convoitises et attirant les problèmes les plus divers et loufoques.
Le meilleur programme court
Merci de Vincent Toujas, Ugo Savouillan, Yvan Delatour et Thomas Pantalacci. Avec François Baritaud, Garance Degos, Marc-Aurèle, Sylvie Batbie, Loïc Rojouan, Alice Dufour, Antoine Tissandier, Laurent Target.
Merci est une série courte anthologique, qui explore toute l’ironie et la profondeur du mot Merci. Un épisode raconte une tranche de vie d’un personnage, qui doit affronter un merci à prononcer, un merci à recevoir ou un merci à attendre…
La meilleure musique
Les grands de Vianney Lebasque. Une musique de Audrey Ismaël et Bastien Burger. Avec Adèle Wismes, Grégoire Montana, Sami Outalbali, Pauline Serieys, Théophile Baquet, Romane Lucas, Laurent Bateau.
Les Grands sont en Terminale. Kenza rêve d’étudier le droit à Paris mais Boogie ne se voit pas quitter sa ville natale. Hugo passe sa vie sur une appli de dating, enchaînant les plans cul dans le dos de sa copine et se découvre une passion pour la photo. MJ est persuadée qu’Humbert est son père biologique. Ilyès est à fond dans la fête et expérimente tous les excès. Quant à Avril, le retour- surprise de Maxime va l’ébranler et faire resurgir son passé douloureux. A quelques mois du bac, la bande profite des derniers moments ensemble pour s’éclater, avant l’heure des choix…
La meilleure interprétation féminine (Ex equo)
Luna Carpiaux dans Connexion Intime. De Renaud Bertrand. Avec Luna Carpiaux, Marilyn Lima, Jules Houplain, Armelle Deutsch, Marius Colucci, Julien Pestel.
Chloé, 15 ans, nouvelle venue au collège, noue une amitié intense avec Luna une fille charismatique et affranchie qui l’aide à s’intégrer rapidement. Chloé rencontre aussi Félix, l’ex de Luna, un bad boy à la beauté vénéneuse, grand consommateur de porno, dont elle tombe amoureuse. Un triangle se met bientôt en place entre les trois adolescents au centre duquel Luna tire les ficelles. « Éduquée » par son amie, Chloé découvre la sexualité avec Félix. À ses risques et périls…
Cécile Rebboah dans Itinéraire d’une maman braqueuse. De Alexandre Castagnetti. Avec Cécile Rebboah, Claire Nadeau, Medi Sadoun et Pascal Demolon.
Quand Laura quitte son compagnon qui la trompe, elle veut offrir à ses deux fils le meilleur, une vie plus belle que la sienne. Laura aspire à un bonheur simple : un cocon douillet et un boulot qui lui permette de payer les factures et de temps en temps, un repas de fête. Mais pour s’offrir tout cela, Laura s’endette, et bientôt, elle vit à crédit. Elle a beau se battre, trouver un deuxième travail, ça ne suffit pas. Harcelée par ses créanciers, dépossédée de tout y compris de sa dignité, Laura ne voit plus qu’un seul moyen de s’en sortir…
La meilleure interprétation masculine
Yannick Choirat dans Un homme abîmé. De Philippe Triboit. Avec Yannick Choirat, Anne Marivin, Jérémy Gillet, Léana Dubourg, Didier Flamand, Grégoire Monsaingeon.
Avocat d’affaires, heureusement marié, père de deux enfants, Vincent Sorrente est un homme dont la vie ressemble à celle dont il avait toujours rêvée. Une vie d’homme fort et sûr de lui que rien ne pourrait ébranler. Et pourtant… Il aura suffi d’une mauvaise rencontre avec un inconnu faussement amical, de la consommation involontaire d’une drogue dite « du violeur », pour se réveiller un matin des contusions sur le corps et le visage et du sang entre les jambes. Vincent a été violé. Plus rien ne sera jamais comme avant.
Blessé dans son corps et son identité, Vincent se noie. Il devient un homme en danger qui va devoir se battre pour retrouver son intégrité et sa dignité bafouée. Qui est-il ? Quel mari peut-il encore être, quel père, quel homme ? Face aux siens, à son milieu professionnel, au souvenir de son agresseur, comment répondre à ce qui est attendu de lui ? Aujourd’hui, qu’est ce qu’être un homme ? Et qu’est-ce que le redevenir ?
Prix Nouvelle Aquitaine des lecteurs du journal Sud-Ouest
Si tu vois ma mère de Nathanël Guedj. Avec Felix Moati, Noémie Lvovsky, Sara Giraudeau, Gilles Cohen, Géraldine Martineau, Eugénie Derouand, Esteban, Raphaël Quenard.
Max, la trentaine, partage sa vie entre ses amis et sa mère Monique, avec laquelle il entretient une relation fusionnelle. Mais alors que Monique s’apprête à lui annoncer qu’elle va refaire sa vie avec Philippe, elle décède soudainement. Le jour de l’enterrement, elle apparaît à son fils, qui accueille à bras ouverts le retour de cette mère fantasmée. Commence alors un étonnant sursis. Mais lorsque Max entame une relation amoureuse avec Ohiana, une psychothérapeute pétillante et excentrique, Monique, possessive, va s’avérer très vite encombrante…
La meilleure série de ces 5 dernières années – Prix télé Poche / Télé Star
Les bracelets rouges de Marie Roussin diffusée sur TF1.
Ce lundi, les conditions météorologiques s’améliorent. Après un week-end où la luminosité était parfois altérée par un voile nuageux plus ou moins épais, le soleil se montrera particulièrement généreux sur l’Hérault et le Gard tout au long de la journée. Toutefois, un léger voile nuageux pourrait être observé sur le relief des Cévennes en cours d’après midi.
Brise marine dans l’après midi
Peu ou pas de vent en matinée. En revanche, comme c’est souvent le cas sur l’Hérault et le Gard, la brise marine soufflera, en toutes zones, entre le début d’après midi et la soirée avec des rafales de 25 km/h à 40 km/h.
Températures au dessus des normes de saison
Grâce à ces conditions, l’ambiance s’annonce agréable pour une deuxième quinzaine de septembre avec des températures toujours au dessus des normes de saison. Les températures minimales seront généralement comprises entre 15°C et 19°C du relief vers le littoral.
Quant aux températures maximales, une fois n’est pas coutume c’est sur le Gard qu’elles seront les plus élevées. Généralement, elles devraient souvent dépasser les 30°C dans l’intérieur des terres tandis que la brise marine limitera la hausse du mercure sur le littoral.
Jusqu’à 34°C dans l’Est du Gard
Ainsi, on attend 28°C sur Béziers et Sète, 31°C sur Lodève, Montpellier et Nîmes, 32°C sur Ganges, 33°C sur Alès et Uzès et jusqu’à 34°C sur Bagnols-sur-Cèze.
Vous allez peut-être voir votre artisan-boulanger préféré passer à la télé cette semaine. Du lundi 16 au vendredi 20 septembre 2019, la septième saisons de l’émission La Meilleure Boulangerie de France, diffusée tous les soirs à 18 h 40 sur M6, fait une halte dans les Hauts-de-France.
Chaque jour de la semaine, Norbert Tarayre, chef cuisinier, et Bruno Cormerais, Meilleur Ouvrier de France Boulanger, vont partir à la rencontre de deux boulangeries, deux artisans, deux univers… Ils départageront les deux établissements en compétition à travers quatre épreuves : la boutique, le fournil, le pain et le défi du jury. Chacune des épreuves est notée sur 10.
À l’issue de chaque journée de duel, seule une des deux boulangeries se qualifiera. Le grand gagnant régional sera directement désigné par le jury le vendredi. Il pourra ainsi accéder à la grande finale nationale pour espérer remporter le titre de Meilleure Boulangerie de France 2019.
Deux artisans-boulangers dans la métropole de Lille
Après Provence-Alpes-Côte d’Azur, Bourgogne-Franche-Comté, Nouvelle-Aquitaine et Grand Est, c’est au tour des boulangers de notre région d’entrer dans la compétition. Comme pour les 90 boulangeries retenues pour l’émission, celles des Hauts-de-France ont été sélectionnées pour leur aspect artisanal.
Ainsi, cinq boulangeries du Nord, 2 du Pas-de-Calais, 2 de l’Oise et une de l’Aisne seront mises à l’honneur tout au long de la semaine. Lundi 16 septembre, la boulangerie Les Délices de Léandre et Alice à Boulogne-sur-Mer fera face à la Maison Hoorelbeke à Steenvoorde.
Mardi 17 septembre, les caméras de M6 seront dans la métropole de Lille, à Marquette-lez-Lille pour la Boulangerie Brice, ainsi qu’à Villeneuve-d’Ascq chez Martin Créateur de Plaisir.
Aujourd'hui fut une journée un peu spécial pour nous. En effet, nous sommes heureux de vous annoncer notre participation…
Vendredi 20 septembre, Bruno et Norbert prendront la route vers l’Oise pour le dernier jour de la compétition dans les Hauts-de-France. La boulangerie Maison Lovin à La Neuville-Roy fera face à La Boîte à Pains, à Gouvieux.
En raison des deniers événements dans votre boulangerie.Nous avons pris la décision de ferme ce mercredi 15mai.Merci de votre compréhension
C’est un reportage hors-du-commun qui attend les téléspectateurs de Zone Interdite, diffusée sur M6, dimanche 22 septembre 2019.
L’émission présentée par Ophélie Meunier va poser ses caméras à Saint-Jean-d’Illac (Gironde) pour raconter l’histoire d’une succession pas comme les autres et d’un homme, Frédéric Rouvet, à la recherche de son frère disparu depuis plus de 20 ans.
« Héritage : le pactole ou la galère » va à la rencontre de Frédéric Rouvet. Le Parisien, au RSA, a perdu ses parents à quelques mois d’intervalle il y a trois ans. Ils laissent derrière eux deux maisons, une à Saint-Jean-d’Illac et une seconde à Biscarosse. La valeur des deux biens est estimée à plus de 800.000€.
Cependant, la succession ne se passe pas comme prévue car le frère de Frédéric, Gil, a disparu sans laisser d’adresse il y a plus de 20 ans. Il serait sans domicile fixe dans le sud-ouest de la France. Seul héritier connu, Frédéric doit faire face à toutes les charges des maisons et n’a pas de quoi payer.
Si le notaire a mandaté un généalogiste pour tenter de retrouver Gil, ce dernier semble introuvable. C’est pourquoi Frédéric s’est lancé à sa recherche, dans l’objectif d’arriver à changer leurs vies.
Ce documentaire de Stéphane Rodriguez et de Jean-Baptiste Gallot sera diffusé dimanche 22 septembre 2019 à 21h05 sur la chaîne M6, dans l’émission Zone Interdite.
Marine Le Pen, venue mobiliser ses militants à Fréjus (Var) dimanche 15 septembre 2019 en vue des municipales de mars prochain, a vanté le « socle solide » de son parti face à la société de « l’insécurité » proposée selon elle par Emmanuel Macron, les yeux déjà tournés vers la présidentielle 2022.
Emmanuel Macron « fait sauter tous les repères et (…) nous fait entrer dans une société que je qualifierais de liquide, une société où plus rien n’est sûr« , »une société de l’insécurité généralisée, une société où tout est précaire, éphémère, incertain », a dénoncé la finaliste de la présidentielle en 2017.
« Pas sûr de garder son travail, pas sûr de ne pas être muté de manière autoritaire, pas sûr de son âge de départ à la retraite, ni même du montant de sa pension, pas sûr que ses enfants reviendront sains et saufs d’une sortie entre amis », a ajouté la cheffe du RN, devant quelque 1200 militants.
« Dans ce contexte, le Rassemblement national constitue un socle solide et durable, il est la certitude d’une politique qui pose des limites, des règles, des droits, des garanties pour chacun », a-t-elle fait valoir dans cette ville dirigée par le RN.
Les yeux tournés vers la présidentielle, elle a redit que les municipales, puis les départementales et les régionales en 2021, étaient « des mousquetons qu’on fixe sur la paroi pour grimper jusqu’à l’objectif final », proposant au passage le retour à un septennat, non renouvelable.
Et pour elle, la « grande affaire de la présidentielle », qui peut se décliner dans les communes, sera de « réparer la fracture territoriale » avec une « grande politique d’aménagement du territoire » basée sur la « relocalisation des activités » dans les zones rurales désertées, pour qu’elles deviennent des « zones France ».
« Cette révolution de la proximité, qui est la pierre angulaire de notre projet, nous conduit à (…) la civilisation écologique », a plaidé la dirigeante d’extrême droite.
La cheffe du RN ne s’est pas attardée comme l’an dernier sur l’immigration et l’insécurité, qui restent cependant des « priorités » pour les futurs maires et la dizaine de villes gagnées en 2014, dont elle a vanté le bilan.
Elle s’est offusquée de n’avoir « aucun temps de parole » au débat sur l’immigration prévu le 30 septembre à l’Assemblée, et a promis de « se faire entendre autrement » sur ce sujet fétiche du RN. « On est chez nous », ont alors scandé ses militants.
Voyant une « victoire idéologique » dans la nomination controversée d’un commissaire européen à la protection du mode de vie européen, elle ajouté que Bruxelles se voit obligée de « reconnaître que l’immigration pose la question du maintien du mode de vie des Européens ».
« Union nationale » plutôt que « union des droites »
Le scrutin municipal s’annonce pour le RN moins favorable que les européennes. Il s’agit surtout pour le RN de s’implanter davantage, en irriguant autour de la dizaine de villes déjà conquises, dans ses bastions du Nord-Pas-de-Calais et du pourtour méditerranéen.
Le parti mise sur l’ouverture à des personnalités extérieures, comme à Paris, à Carpentras (Vaucluse), ou à Perpignan, où l’ancien compagnon de Marine Le Pen, Louis Aliot se présente sans étiquette.
L’accent est également mis sur les jeunes, souvent rapidement promus dans ce parti. David Rachline, élu à 26 ans maire de Fréjus (53 000 habitants), la plus grosse ville tenue par le RN, les a appelés à se présenter « pour tout remettre à plat », y compris les subventions aux associations qui promeuvent « le vivre-ensemble ».
Dans ses habits de « première opposante », la cheffe du RN s’est démarquée de son encombrante nièce Marion Maréchal, invitée vedette d’une « convention de la droite » le 28 septembre.
Marine Le Pen a défendu une stratégie « d’union nationale » plutôt que « d’union des droites », soutenue par Marion Maréchal, qu’elle trouve par ailleurs « peut-être un peu jeune » pour représenter le RN en 2022.
Leur point commun reste de préparer l’alternance à Emmanuel Macron, qui n’en a pas fini avec les « éruptions volcaniques » du type « gilets jaunes », a prédit Marine Le Pen.
Enfin, contrairement à 2018, elle n’a pas fait allusion à ses alliés en Europe, comme le FPÖ autrichien et la Ligue italienne, qui ne sont aujourd’hui plus au pouvoir.
Les pompiers de Montfort et de Tuffé sont intervenus à Tuffé Val de Chéronne.
Un accident s’est produit, le dimanche 15 septembre, à Tuffé Val de Chéronne. Bilan : trois blessés légers.
Trois blessés
Un accident de la circulation routière a eu lieu, Tuffé Val de Chéronne, ce dimanche 15 septembre, à 17h21. Trois blessés légers ont été transportés au CH Le Mans.
Sur les meubles de la Villa Patience trônent des centaines de coupes. Ces dernières décennies, aux concours régionaux ou nationaux, en championnats standards ou de conformité, plusieurs boxers élevés par Marie-Françoise Minpiot et Daniel Sauvet ont obtenu des prix et des reconnaissances.
Nombre de chiots ont été confirmés car ils ont acquis les aptitudes de conformité aux standards de beauté et de docilité.
Par exemple, au bois de l’Épinay de Forges-les-Eaux, il y a quelques années, la chienne Flores a été classée meilleure Baby puis meilleure Puppy. Elle est ensuite devenue meilleure Espoir avant d’entamer une carrière internationale tout en étant primée dans des pays tels que l’Allemagne ou l’Italie.
Marie-Françoise et Daniel ont toujours présenté des boxers durant les onze éditions successives à la Grange de Forges-les-Eaux. Cette année, trois d’entre eux ont été confirmés et deux autres sont entrés dans le ring d’honneur.
« Le boxer est un animal noble »
Daniel explique :
Le boxer est un animal noble. On donne un nom de noblesse à la naissance du chiot, puis, en l’éduquant essentiellement par le jeu et en lui apportant beaucoup de soins, on lui donne ses titres de noblesse.
Même le nom de leur résidence n’a pas été choisi à la légère :
Nous avons appelé ce lieu Villa Patience car ces chiens ont une patience infinie à attendre sagement leur maître et surtout à jouer avec les enfants.
Une grande famille
Marie-Françoise Mimpiot et Daniel Sauvet y ont élevé jusqu’à 7 chiens. Ils vouent une passion à l’éducation de ses chiens dont la race d’origine allemande se caractérise par une robe fauve ou bringée (1 tiers de blanc minimum), une tête carrée et une ossature puissante.
L’éleveuse n’est pas en reste de compliments à l’adresse de ses canidés :
Noble et puissant, le boxer fait partie intégrante de la famille : gentil avec les enfants, bon gardien, sportif, il est un peu espiègle avec un brin de fantaisie.
« Il aime bien le canapé ! »
Elle poursuit : « Le côtoyer au quotidien, c’est partager avec lui une complicité pleine de tendresse ». Et de noter au passage : « Il aime bien le canapé ».
Ces deux passionnés, inscrits à la fédération française des boxers (AFB) ont maintenant du mal à se déplacer. Pour courir aux côtés des chiens, lors des présentations, de jeunes éducateurs viennent les rejoindre et s’occupent des descendants de la première femelle boxer Gitane de la Hautefeuille.
Les canidés continuent, génération après génération, de briller dans les concours internationaux de beauté canine. Les propriétaires de la Villa Patience consultent régulièrement leurs archives canines.
« Sans nos boxers, nous serions bien malheureux », affirme Daniel en jetant un coup d’œil aux chiens couchés à ses pieds.
Jusqu’au 25 septembre 2019, l’entreprise Charlott’ se mobilise pour l’emploi en lançant une opération de recrutement pour informer sur les nombreuses opportunités d’emplois proposées aux personnes qui souhaitent démarrer une nouvelle activité de vendeur à domicile indépendant (Vdi) dans le domaine de la mode, à temps plein ou partiel.
Le Bus job dating fera escale mardi 17 septembre, de 9h30 à 11h, au Clos Santeuil (parking du restaurant Au Bureau et Grand Frais) au 4, rue des Érables à Éragny-sur-Oise (Val-d’Oise).
Au programme
– Découverte de la société et ses valeurs avec présentation de son univers et de la nouvelle collection lingerie et prêt-à-porter hiver 2019.
– Présentation détaillée du métier de conseillère/er, du secteur de la vente à domicile.
Depuis 10 ans, le secteur de la vente à domicile séduit les Français qui sont de plus en plus nombreux à se tourner vers ce canal de distribution.
« 93% des acteurs de la vente directe déclarent s’épanouir dans leur activité. »
Charlott’ est le leader de la vente de lingerie à domicile depuis 25 ans. Avec 24 millions d’euros de chiffre d’affaires et 2 800 vendeuses indépendantes et 1,5 million de clientes, c’est une véritable référence dans son secteur.
Thiéfaine, Big Flo et Oli, Roméo Elvis ou encore Boulevard des Airs, la programmation du festival avait de quoi donner l’eau à la bouche au public.
Et les artistes n’ont pas déçu. Cette première édition du V and B Fest’ aura pourtant débuté avec l’agacement de nombreux festivaliers suite à la longue attente pour entrer sur le site vendredi soir. Finalement tout sera rentré dans l’ordre vers 22h et chacun a pu profiter des concerts.
Les points forts
La programmation : il y avait du lourd à Craon pour une première édition. Les chanteurs ont fait le show tout le week-end et mis une chaude ambiance sur le festival. Il y en avait pour tout le monde. Petits et grands ont trouvé leur compte vendredi et samedi. Entre les enfants qui reprennent tous ensemble en coeur les chants de Big Flo et Oli, Boulevard des Airs qui réalise une battle entre deux groupes de son public ou encore les chants qui résonnaient encore quelques minutes après la fin du festival de Thiéfaine, le public a été conquis par les chanteurs.
Les animations à côté du festival : outre les concerts en eux-mêmes, le village du V and B Fest’ a apporté un plus au week-end. Placé à côté du festival, le village a proposé différentes animations avec du tennis de table, des concours de Mölkky ou encore des courses en sac pour les plus jeunes. De nombreux commerçants mayennais étaient aussi sur place pour proposer de quoi se restaurer, boire et même se couper les cheveux. Des burgers, des galettes saucisses, un coiffeur/ barbier, de nombreux bars… il y en avait pour tous les goûts. Un petit terrain de football et de volley a également été mis en place. De quoi faire passer le temps lors de la journée du samedi en attendant la reprise des concerts.
Roméo Elvis. Alors qu’un mouvement de panique venait d’avoir lieu du côté de la sécurité après que des Pogos ont contraints plusieurs personnes à être évacués, Roméo Elvis a invité un jeune garçon à monter sur scène pour chanter avec lui son titre « Soleil ». Une belle image entre le rappeur belge et le jeune homme.
Les points à améliorer
L’accès au festival. Beaucoup sont ceux qui se sont plaints des conditions d’accès au festival vendredi. Il a fallu en effet attendre près d’une heure et demie entre l’arrivée sur Craon puis l’entrée sur le site pour de nombreux festivaliers.
« On se rend compte que l’on a touché un public qui n’est pas forcément habitué aux festivals, aux gestes pour mettre les bracelets etc. Les gens sont arrivés au dernier moment et automatiquement si tout le monde arrive en même temps, cela cause des bouchons. C’est inévitable quand des milliers de personnes arrivent en même temps », se défend Antoine Porcher, directeur général du V and B.
L’attente pour la restauration et bars. Il aura fallu attendre de longues minutes afin de pouvoir se restaurer ou prendre un verre au festival. Certes, il y a souvent quelques minutes d’attente dans chaque festival mais vendredi puis samedi, ce fut particulièrement long à certains endroits. L’organisation ne s’attendait peut-être pas à un tel succès.
Si tout n’a pas été parfait, rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine où l’organisation va pouvoir faire quelques petits ajustements. « On travaille déjà sur l’édition de l’année prochaine. On va améliorer certains points. De l’extérieur, on voit des choses à améliorer que même le public ne voit pas. On veut accentuer le confort des festivaliers. On est très exigeant envers nous même. On est à 95 % de positif mais on peut toujours s’améliorer », annonce Antoine Porcher.
« L’étranger, ça m’a toujours attiré. Non pas que Bordeaux et sa Grosse Cloche soit lassants, ou même que la colonisation parisienne me repousse à ce point, mais l’idée de connaitre quelque chose de drastiquement différent m’a toujours attiré. »
Déjà huit ans en Scandinavie
Depuis août 2011, Thomas Norhadian a quitté la France. Actuellement, il habite à Karlstad, entre Stockholm et Oslo, où il a dégoté un excellent job : il est chargé d’affaires chez Rolls-Royce. Du coup, il vient d’acheter un immeuble et il compte bien se fixer en Suède.
Il y a huit ans, attiré par les pays nordiques et « leurs grandes étendues blanches et scintillantes », l’étudiant avait saisi l’opportunité de faire sa première année de master à Linköping pour apprendre l’anglais.
À l’époque, jamais il ne se serait imaginé rester aussi longtemps à l’étranger… Mais le Bordelais a succombé aux charmes de la Scandinavie. Fjords, aurores boréales, mais pas que… :
Une Suédoise rencontrée sur le chemin des soirées à l’université, une année à profiter du pays et de la vie étudiante, et me voilà confronté à mon premier choix crucial de ma vie à l’étranger : ayant formidablement échoué dans ma première année de master, où redoubler ?
L’élève ingénieur a posé le problème sous forme d’équation et la réponse est venue naturellement : université de rêve + pays de rêve + copine suédoise = master en Suède.
C’était le départ d’une seconde vie en Scandinavie. Le master en poche, le tout frais diplômé a trouvé un travail en Norvège, à Ålesund. Le début d’une longue collaboration avec Rolls-Royce, une entreprise spécialisée dans la construction d’automobiles de luxe et de moteurs d’avion.
Des conditions de travail exceptionnelles
C’est sûrement l’une des plus belles villes imaginables, au creux des fjords norvégiens, sur la côte ouest et assez au nord pour profiter régulièrement des aurores boréales comme on ose à peine imaginer. Il pleut les trois-quarts du temps (22 jours par mois en moyenne…) mais ça a son charme. C’est tellement beau que ça ne change rien.
Avec son nouveau boulot, il bénéficie de conditions de travail exceptionnelles (8h-16h) et d’un salaire confortable. « Bref, même sans ma copine suédoise qui est retournée dans son pays, je ne vois pas de raison de changer quoi que ce soit », commente-t-il.
Après dix mois, l’ingénieur fait une parenthèse de quatre mois en Angleterre, toujours pour la même société, puis revient un an et demi dans la ville norvégienne. Il retourne même à Bordeaux pendant trois mois !
Comme Martin Fourcade
« Le tout avant de changer pour un poste stable en… Suède. » À Karlstad donc, où il a choisi de s’installer durablement, lassé par ses nombreux voyages.
Il y a moins de montagnes, mais beaucoup plus de soleil. Les conditions de travail sont toujours aussi exceptionnelles, si ce n’est encore meilleures. Le ski est plus présent et je laisse pousser la barbe pour ressembler le plus possible à Martin Fourcade.
Ses proches l’interrogent sur son possible retour en France. Il répond : « Au fil des années, la culture a commencé à me manquer. Surtout, la sensation d’avoir une personne en face de soi qui a les mêmes racines, qui réagit de la même manière, a les mêmes références culturelles, politiques, humoristiques. Oui, c’est une chose qui manque », reconnaît le Bordelais.
Des amis français
Pour autant, depuis qu’il a acheté son appartement, il s’investit dans la vie locale de Ålesund, il a rencontré des français avec qui il partage de la musique et du vin, et il partage sa vie avec une suédoise qui maîtrise parfaitement la langue de Molière.
Alors, son retour n’est pas vraiment d’actualité. Puis, comme il le dit avec un sourire taquin, il n’y a pas encore la LGV dans son patelin norvégien. Donc les appartements sont beaucoup moins chers qu’à Bordeaux. Un argument de plus, dans l’équation de l’ingénieur.
S’il devait y avoir une palme de la vidéo qui met le plus en avant une ville au Festival de Cannes, La Réole (Gironde) l’emporterait haut la main. Dans le cadre de l’opération « 33 minutes pour changer de vie », la cité millénaire s’est illustrée dans une vidéo magnifique dans laquelle son cadre de vie est plébiscité.
« Je vais vous révéler mon histoire. » C’est par ces mots, après plusieurs phrases d’introduction, que le tempo de la vidéo s’intensifie pour raconter le dynamisme de la cité. Entre le patrimoine, l’agenda culturel, la proximité avec la Garonne, La Réole se dévoile. Et rien ne semble avoir été oublié.
L’humain au centre de la vidéo
Les plans sont beaux, les images travaillées et l’humain, au centre de cette vidéo promotionnelle. C’est sans doute ce que la ville a souhaité mettre en avant en faisant apparaître des acteurs de la vie locale. On pense évidemment aux clubs d’aviron et de La Réole XIII, aux commerçants mais aussi aux nombreux locaux qui déambulent lors du marché du samedi matin.
En un peu plus de trois minutes, ce sont de nombreuses facettes de la cité qui sont montrées. Son patrimoine -avec l’église Saint-Pierre et son orgue, le prieuré des Bénédictins et son cloître, les maisons en colombages ou encore le Château des Quat’Sos- ainsi que son dynamisme culturel, avec des prises de vues lors du festival Vicacité, de Planetfolk, du gala de l’école À Corps Danse ou encore de l’événement La Rue aux enfants, organisé par l’association Solid’Avenir.
La Réole bouge tout au long de l’année et a des qualités à faire valoir.
Vidéo > 33 minutes pour changer de vie par la mairie de La Réole
C’est dans le cadre de l’opération « 33 minutes pour changer de vie » que cette vidéo a été réalisée. L’événement se déroulera le 21 septembre 2019 et est destiné à attirer de nouveaux investisseurs, en leur présentant les projets structurants et innovants en cours, la capacité collective à les accompagner et les dynamiques associatives et culturelles.
Des professionnels de l’immobilier seront présents dans l’espace du prieuré, de 10h à 17h, pour faire découvrir les atours de la ville, les aides mobilisables à destination des propriétaires et des futurs acquéreurs en centre historique ainsi que les opportunités immobilières à saisir.
Deux tables rondes sont également programmés : la première à 10h30 à propos de l’habitat participatif, projet mené aux côtés de Gironde Habitat, avec présentation de projets innovants et témoignages des investisseurs. La seconde aura lieu à 11h15 avec témoignages de réalisations de projets portés par des Réolais et des néo-Réolais.
Durant l’après-midi, c’est un parcours autour du patrimoine et de visions architecturales futuristes qui sera proposé avant que la soirée débute, à 17h, avec la Fête à Léo, puis la nuit du patrimoine. C’est un apéritif à 20h dans le cloître et des animations en soirée qui clôtureront cette journée riche.
La ville de La Réole organise une nouvelle édition de son événement "33 min pour changer de vie », le 21 septembre 2019,…
L’infidélité n’est pas un attentat… si ce n’est au couple ! On connaît le fin mot sur l’origine de la rixe, qui a entraîné un énorme vent de panique, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 septembre 2019, place du Capitole à Toulouse, suscitant de folles rumeurs autour d’une fusillade imaginaire.
Tout est parti… d’un « couple infidèle » qui a été aperçu à la terrasse d’un café, place du Capitole, indique à Actu Toulouse la commissaire de police de permanence. Ces deux personnes, en train de siroter un verre en terrasse au Paradis du Fruit, ont été prises en flagrant délit. Le fruit défendu.
Bagarre et mouvement de panique
Rapidement, la situation s’est envenimée. Une rixe a alors éclaté entre plusieurs individus, avant de se transformer en bagarre générale. Un mouvement de panique s’en est suivi à la terrasse du Florida, célèbre brasserie de la ville, adjacente au Paradis du Fruit.
Et les coups ont plu. Puis vinrent les cris, les chaises et autres tables qui volent, les verres qui éclatent… Et les clients des terrasses qui se lèvent et détalent du Capitole, prenant la fuite en courant… En quelques minutes, la terrasse du Paradis du Fruit a été mise sans dessus dessous.
Des pétards auraient éclaté, avant ou après la bagarre, ce que des badauds auraient assimilé à des coups de feu (mais ce que la police ne confirme pas). Et partir de là, une folle rumeur est partie sur les réseaux sociaux, évoquant coups de feu, mitraillettes, fusillade, et même attentat.
D’autant que la présence en nombre de policiers, et surtout celle – plus exceptionnelle – de militaires (en réalité, ceux de l’opération Sentinelle, ndlr), a bien sûr ramené le calme, mais a aussi, quelque part, alimenté l’idée qu’il se passait « quelque chose de grave »… Et puis, comme le dit un militaire dans une vidéo, il y aurait « des blessés ».
Pas de blessé, mais un malaise
Sauf que la police et le Service départemental d’incendie et de secours sont formels : ils n’ont pas eu à porter secours à des blessés au Capitole, simplement à évacuer une femme enceinte, victime d’un malaise pendant le mouvement de foule, vers 1 heure du matin. Quelques personnes auraient également été touchées par des éclats de verre, sans gravité.
Mais au final, pas de coups de feu, pas de fusillade, et encore moins d’attentat. Rien de tout cela.
Pour les joueurs de Verson, le déplacement à Démouville possédait tous les ingrédients propres à un match–piège. Petit terrain sec et bosselé, des joueurs locaux hyper motivés, une galerie acquise à la cause du Petit Poucet et pour ne rien arranger, une chaleur plus propice à un tour à la mer qu’à un tour de coupe. Abordant le match avec concentration et ne relâchant jamais leur emprise sur le jeu, les hommes du président Lopez ont rendu une copie propre et surtout n’ont jamais le moindre espoir à leurs adversaires. Ces derniers, vaillants et disciplinés ont résisté plus d’une demi-heure avant de vaciller puis de craquer carrément après l’heure de jeu. Mais comme le reconnaissait Maurice Nouet le « toujours jeune » capitaine démouvillais :
Verson nous a pris au sérieux et ne nous a pas laissé la moindre possibilité de réaliser un exploit. Félicitations et bonne route à eux ! Quant à nous, c’est le genre de rencontre qui peut nous aider à progresser car nous avons quand même produit du jeu et proposé une belle résistance.
La raison du plus fort est toujours la meilleure… et en ce chaud dimanche, c’est bien Verson qui était le plus fort et dont le nom sera logiquement dans le chapeau pour le tirage du 4ème tour.
Le premier tir de la partie (5è), qui fut l’œuvre d’un joueur local, Maurice Nouet en l’occurrence, annonçait une formation démouvillaise sans complexe et bien décidée à saisir la moindre opportunité pour tenter sa chance. Hélas pour la troupe de Mathias Loisy, Verson ne lui laissa plus la moindre occasion avant la pause, de scorer. Par contre, on peut dire que l’arrière garde des Départementaux fut souvent mise à rude épreuve et particulièrement sur son flanc droit où les visiteurs s’engouffraient avec délectation. Un premier centre de Corentin Denieul faillit profiter à Mickael Zami mais le coup de billard avec Dylan Dupont échoua à quelques centimètres du montant (7è).
Le portier des Noirs était ensuite tout heureux de détourner d’un tacle rageur le tir de Malick Gabriel sur son poteau. Mais Dylan Dupont ne put rien faire pour éviter le but de Malick Gabriel auteur d’un enchaînement contrôle-frappe en pivot de toute beauté (0-1, 33è). En coupe, l’ouverture du score est souvent déterminante mais il faut ensuite assurer le break. En transformant un lob facile en une passe-cadeau au gardien, Corentin Denieul rata une énorme occasion d’obtenir la qualification dés la première mi-temps (43è). Il faudra donc encore cravacher après les citrons…
Et comme les joueurs de l’ACDC jouèrent leur va-tout avec beaucoup d’entrain, les Versonnais durent resserrer les boulons pour repousser la révolte adverse. La mini-tempête passée, le ballon voyagea à nouveau vers le but de Dylan Dupont. Si ce dernier fut sauvé sur sa ligne par une intervention désespérée de Franck Marie qui détourna du crâne une tête de l’excellent Samuel Nambot (60è), il fut moins veinard sur le corner suivant botté par Malick Gabriel et repris d’un coup de tête imparable par Corentin Denieul (0-2, 63è).
La fin du match allait s’avérer un long supplice pour les joueurs de Mathias Loisy qui voyaient avec appréhension des vagues successives déferlées sur leur but. Un trois contre un fut étrangement galvaudé par les attaquants de Verson (72è) mais dans la minute suivante, une mésentente entre Franck Marie et Tarik Maghfour profita au « grand Max » Leblanc pour le 3ème but (0-3, 73è). Les joueurs de Nicolas Vrel enfoncèrent un peu plus le clou grâce à Samuel Nambot servi par une talonnade géniale de Mickaël Zami (0-4, 80è). L’ASV aurait pu ajouter un 5ème but mais la frappe de Corentin Denieul se fracassa sur la barre et sa reprise se perdit dans les décors (86è)… Mais Démouville-Cuverville par sa bravoure et son grand cœur à l’ouvrage ne méritait pas de prendre une « manita ».
Avertissements : Démouville : François (35è), Meche (87è)
Buts : Gabriel (33è), Denieul (63è), Leblanc (73è), Nambot (80è)
Démouville Cuverville : Dupont, Chetoui, Godefroy puis Meche (55è), Buhour, Marie, Cenedese puis Bouvet (47è) Maghfour, François, Nouet (cap), Auvray, Lelong puis Yildirim (55è); Entraîneur : M. Loisy
Verson : Nogues, Dorenlot, Levergeois, Nowak, Genissel puis Picard (62è) Aublet (cap), Zami, Le Roy puis Leblanc (62è), Nambot, Gabriel puis Bouaziz (76è), Denieul ; Entraîneur : N. Vrel
Un homme dans le match : Jorgen François
Quelle surprise de retrouver Jorgen François sous les couleurs de Démouville-Cuverville ? Non pas que l’équipe entraînée par Mathias Loisy ne soit autorisée à posséder quelques joueurs talentueux, mais c’est surtout le parcours atypique de Jorgen qui surprend. Classé grand espoir quand il évoluait en U17 à l’USON Mondeville, il avait été repéré et recruté par les responsables du centre de formation de Laval. C’est au centre de formation du Stade Malherbe où il avait signé qu’il devait ensuite parfaire sa formation mais un problème de santé stoppa net son séjour du côté de Venoix.
Après un retour vers la case Mondeville où il pratiqua en seniors, il décida un beau jour d’arrêter le foot parce que son travail lui prenait trop de temps. La pause-football dura un an et demi et en juin, avec ses copains Dylan Dupont et Maxime Buhour, il proposa ses services au club démouvillais. L’équipe évolue en D2 mais peu importe :
J’avais surtout envie de retrouver du plaisir sans me prendre la tête. Jouer à ce niveau ne me dérange pas du tout. Je m’éclate tous les dimanches et l’esprit est vraiment cool.
Est-ce à dire que l’ambition de retrouver un niveau plus haut est abandonnée ?
On ne sait pas ce que l’avenir nous réserve. J’ai 21 ans et donc encore quelques saisons devant moi mais pour l’heure je trouve mon bonheur sur le terrain et ça me plait bien.
Contre Verson, il fut l’un des rares joueurs à soutenir la comparaison avec ses adversaires. Garçon longiligne et parfois nonchalant, Jorgen a développé une grosse activité en milieu de terrain ratissant par ici, relançant judicieusement par là mais le combat était trop inégal :
Verson a une énorme équipe et a pris le match avec beaucoup d’application. Rien à redire sur leur victoire et même si on a pêché sur le plan physique, on a fait honneur à nos couleurs. Maintenant place au championnat où nous avons une belle carte à jouer pour retrouver le D1.
Dans un souci de clarification, l’ensemble de ces deux services (transports scolaires et urbains) a été attribué à Voyages Robert. Dorénavant, c’est lui qui assurera les transports scolaires sur l’ensemble du territoire de la commune nouvelle. 466 enfants seront pris en charge tout au long de l’année sur 164 arrêts (aucune modification par rapport à l’an passé). La mise en service de cars plus petits permet de revoir certains circuits. Si à Coulonces, le circuit est raccourci, et qu’il n’y aura plus d’arrêt à Gathemo, il y a deux nouveaux lieux de ramassage à Maisoncelles-la-Jourdan. Les circuits ont également été rallongés à Roullours et Vaudry.
Il faut aussi noter que Voyages Robert assurera l’information aux familles directement en cas d’intempéries à la place de la collectivité.
Voyages Robert assurera le circuit au départ de la gare tous les jours dès 7 h. Il ajoute :
Nous avons aussi voulu privilégier les zones d’activités afin de faciliter les choses pour les salariés et les intérimaires »
Un bus neuf est mis en circulation depuis quelques jours. Il a la particularité de posséder deux places pour personnes à mobilité réduite alors qu’il n’y en avait qu’une dans les cars précédents.
La collectivité n’a pas fait le choix de la gratuité des transports. Le tarif est de 1 € le trajet ou 7,50 € le carnet de 10 voyages et 6,50 € pour les jeunes. Il est également possible de bénéficier de tarifs réduits pour les personnes qui bénéficient de la CMU.
Enfin, c’est encore Voyages Robert qui assura les transports à la demande dits Tadami.
En revanche, il est toujours nécessaire d’appeler les services techniques de la ville afin de réserver sa course. Rappelons qu’il s’agit d’un service à tous les habitants de la commune nouvelle de Vire Normandie. Le voyagiste prend les personnes directement à leur domicile pour les déposer à Vire dans les créneaux de 8 h 45/9 h 15 et 13 h 30/14 h et de 11 h 45/12 h et 16 h 45/17 h. Les personnes en fauteuil roulant peuvent également en profiter. La course aller-retour est d’un coût de 4 €.
Ils étaient plusieurs centaines à s’être massés dans la tribune principale de Venoix. Amoureux du Stade Malherbe Caen, familles et simples curieux ne voulaient pas manquer l’instant historique. Pour la première fois depuis plus de 30 ans, une équipe féminine défendait les couleurs du club centenaire. Malherbe avait raté le train du football au féminin quand la plupart de ses adversaires de Ligue 1 et Ligue 2 avaient compris l’importance de monter dedans. L’erreur a été corrigée, et il y avait sûrement pas loin de 400 personnes, dimanche 15 septembre 2019, dans un stade qui a vu les plus beaux exploits du SMC. Léa Quinio, capitaine de l’équipe :
Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il y ait autant de monde. Les gens ont peut-être envie de voir ce que ça donne chez les filles.
Pour voir, ils ont vu. Le Stade Malherbe n’a rien à faire en Régional 2, même si sa présence y est logique. Caen n’a pas eu de passe-droit et s’est vu contraint de démarrer au plus bas échelon régional. En face, Gravenchon n’avait rien demandé à personne et s’est retrouvé opposé à des joueuses de bon niveau R1 voire de D2. Forcément, dans une pratique où les écarts sont vite immenses, il n’y a pas eu photo.
Malherbe n’a fait qu’une bouchée des Seinomarines, battues 12-0 quand le score aurait pu être – sans mentir – le double. Mélissa Renard et Léa Quinio se sont offert un triplé. Tracy Nkodia et Manon Rubos ont vu double. Tatiana Bastard, d’une superbe frappe lointaine, et Zoé Beulay ont elles aussi contribué au score. Pourtant, la satisfaction d’Anaïs Bounouar, l’entraîneure caennaise, était très mesurée au coup de sifflet final.
Dans le contenu, on doit et on peut faire mieux. C’est une évidence. Notre match ne reflète pas ce que nous faisons en séance. Le rythme, c’est à nous de le mettre. Mais il ne faut pas oublier que les filles sortent de préparation.
L’écart était tel entre les deux équipes que les circonstances peuvent expliquer les difficultés locales à imposer un rythme soutenu. « En termes de contenu, je ne suis pas du tout satisfaite de ce qu’on a fait, balaye Léa Quinio. On est tombé dans un faux-rythme après notre premier but rapide. Et il y a eu trop d’échecs au tir. » Cela peut surprendre au vu du score, mais les Caennaises n’ont pas été assez tueuses. C’est encore à remettre dans un contexte de très gros déséquilibre de niveau…
Après avoir parfaitement maîtrisé son sujet sur la première partie de saison (une deuxième place et deux victoires), le Caen Triathlon abordait la finale avec le costume de favori, ce dimanche 15 septembre 2019. En Vendée, Thomas et Martin Laurent se sont à nouveau distingués en terminant deuxième et troisième de l’épreuve. Une belle performance qui aura été une vraie bouffée d’air au moment de calculer les points pour le classement par équipe. En terminant 18e, Dorian Louvet a permis de classer l’équipe. Les rouges et blancs s’imposent finalement d’un point devant Vallons de la Tour Triathlon.
Le Caen Triathlon décroche le titre de champion de France des clubs de D2 avec un total de 88 points sur 90 possibles. Les Sables Vendée Triathlon prennent la 2e place avec 76 points juste devant Vallons de la Tour Triathlon (75 points). Ces deux clubs accompagneront les Caennais en Division 1 à partir du mois d’avril 2020.
L’équipe féminine n’a malheureusement pas réussi à se hisser en finale de D2. Elle prend la sixième place par équipe lors de cette demi-finale de zone Centre-Ouest. Léa Lerille s’est classée 17e, juste devant Louise Lubin (18e) et Aglaé Bardet (20e). Amélie Raffin termine 26e et Manon Dagorn 35e.
« On rêvait d’un podium ensemble, c’est la cerise sur le gâteau après la victoire par équipe. Partager ça entre frères, c’est que du plaisir. Nous sommes partis en tête, le premier vélo était très compact, il fallait se replacer avant la transition. Avec Martin, nous avons effectué une grosse deuxième course à pied pour nous replacer. Nous étions une dizaine sur la seconde partie vélo, l’objectif était de faire la meilleure transition possible avant de tout donné sur la dernière course à pied.
On réussit un beau tir groupé. On est très fiers d’être récompensés de nos efforts. Le regard est tourné vers la saison prochaine. Il faudra de l’apprentissage mais on a prouvé que l’on avait notre place en D1. »
« C’est un aboutissement après avoir terminé deux fois quatrième sur les manches précédentes. C’est super de partager le podium avec mon frère. C’était une course très spécifique avec un format multi-enchaînements que nous avons bien géré. C’est une récompense après la frustration lors de la finale D3 en triathlon (7e par équipe), cela nous tenait à cœur de valider la montée avec la manière. »
« C’était mon premier duathlon de la saison, le dernier s’était terminé par une chute la saison dernière. Les consignes du coach étaient donc claires : ne prendre au risque sur le vélo. Je réussis à faire un top 20 avec la forme du moment ce qui est plutôt satisfaisant. Nous avons une équipe solide. Cette montée me donne envie de m’investir davantage en duathlon. Je suis impatient de matcher en D1 avec le club. »
« On avait tout à perdre sur cette finale. L’expérience nous a aidés à bien gérer la course. Nous avons accompli un beau travail d’équipe. On va découvrir la D1 la saison prochaine. Le Caen Triathlon aura des arguments à faire valoir à ce niveau. »
Deux nouveaux drames de la route se sont déroulés dans le Nord dimanche 15 septembre 2019. Bilan : deux accidents et trois morts à Bousbecque et Hargnies.
A Bousbecque, le drame a eu lieu aux alentours de 17 h. Sur le boulevard de la Lys, une moto et une voiture sont entrés en collision, semble-t-il à grande vitesse.
Les deux passagers de la moto ont été projetés sur plusieurs dizaines de mètres. Âgés d’une vingtaine d’années, ils sont tous deux décédés.
Blessé gravement, le conducteur de la voiture a été transporté vers l’hôpital.
🚨 [#intervention en cours]Accident routier à Bousbecque, boulevard de la LysL'accident entre une voiture de tourisme…
Dans le cas présent, ce n’est pas qu’une question d’amour propre mais d’intérêt général et, quelque part, de santé publique. La Ville de Fresnay-sur-Sarthe (Sarthe) constatant la recrudescence de dépôts sauvages de déchets, de mégots de cigarettes et autres déjections canines en centre-ville ces derniers mois a décidé de lancer une grande campagne de sensibilisation à la propreté. Elle se traduit par la mise en place en des endroits névralgiques du centre-ville de grandes affiches choc (1,20 mètres sur 1,76 m !) teintées d’un certain humour et de la mise à disposition pour le public de petits cendriers chez les commerçants de bouche, à l’office de tourisme, au camping et à l’épicerie du Sans-Souci.
Ainsi les Fresnois pourront lire sur de grands panneaux (à propos des déjections canines) « Stop ça n’a jamais porté bonheur », (au sujet des dépôts sauvages de sacs-poubelles) « Stop et si c’était chez vous, la rue n’est pas un dépotoir » ou concernant les mégots de cigarettes « Stop pas sur le trottoir mais dans le cendar ! ». Chaque affiche étant ponctuée par le slogan « Fresnay-sur-Sarthe ville propre agissons au quotidien ».
Devant le constat que la situation s’est donc dégradée, Fabien Labrette-Ménager, maire, justifie cette initiative. « Face au nombre grandissant d’incivilités, il était important de reprendre la main et de faire passer le message. Je rappelle par exemple que la communauté de communes a mis en place des points d’apports volontaires, qu’il existe des composteurs collectifs. Rappelons également que le ramassage des sacs-poubelles a lieu le lundi matin et qu’il faut les sortir la veille au soir après 18 h et non pas dès le samedi par exemple. Nous faisons des efforts pour que la ville soit accueillante notamment pour les touristes. Alors, que chacun y mette du sien. C’est l’intérêt de tous. »
68 € d’amende
De son côté, Fabrice Goyer-Thierry, maire adjoint, précise que « chaque commerçant de bouche de la vile s’est vu remettre 50 petits cendriers gratuits. S’ils en veulent plus, c’est 1 € l’exemplaire. À l’office de tourisme, au camping ou à l’épicerie du Sans-Souci, ils sont également vendus un euro. »
Quant à Fabienne Labrette-Ménager, elle prévient. « Il s’agit d’une campagne de prévention. Mais il faut savoir que notre agent de surveillance voie publique, constatant une incivilité, peut dresser un procès-verbal à tout contrevenant. L’amende est de 68 € tout de même. » De quoi (peut-être) faire réfléchir.