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Carnet de voyage. En déplacement à Briançon avec les Drakkars de Caen

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Avant de trouver le sommeil peu après le départ de Caen, Enzo Cantagallo, défenseur prêté par Rouen, regarde un film allongé sur sa couchette.

Avant de trouver le sommeil peu après le départ de Caen, Enzo Cantagallo, défenseur prêté par Rouen, regarde un film allongé sur sa couchette. (©Yoann Robert)

Quand ils se déplacent, les joueurs et le staff du Hockey Club de Caen voyagent à bord d’un car couchettes qui leur permet de dormir dedans à l’aller comme au retour. C’est ainsi que les Drakkars se sont rendus à Briançon, qu’ils affrontaient le samedi 26 janvier 2019. Nous avions demandé à Yoann Robert, attaquant caennais, de nous faire vivre de l’intérieur le déplacement.

LIRE AUSSI : Hockey-sur-glace. Vainqueur à Briançon, le Hockey Club de Caen réalise une belle opération

Vendredi 25 janvier 2019. Départ à 19h45, un long voyage de plus de 12h nous attend pour affronter l’équipe de Briançon. En attendant, chacun s’occupe comme il peut, poker, discussion ou encore visionnage de film.

Le bus-couchettes dans lequel les joueurs du HCC passent beaucoup de temps !

Le bus-couchettes dans lequel les joueurs du HCC passent beaucoup de temps ! (©Yoann Robert)

Les soutes sont bien remplies.

Les soutes sont bien remplies. (©Yoann Robert)

Certains regardent un film sur leur ordinateur...

Certains regardent un film sur leur ordinateur pendant le voyage, avant de dormir. (©Yoann Robert)

Samedi 26 janvier 2019. Arrivée à Briançon à 8h45. Pas le temps de traîner puisque le petit-déjeuner nous attend à 9h00. Le réveil n’a pas été facile pour tout le monde…

Dur dur pour Alexandre Férey !

Dur dur pour Alexandre Férey ! (©Yoann Robert)

11h45-12h15. C’est l’heure de l’entrainement ! Après avoir pris possession des vestiaires, nous prenons nos repères sur la patinoire locale.

Caen prend possession du vestiaire.

Caen prend possession du vestiaire. (©Yoann Robert)

(©Yoann Robert)

Les Drakkars à l'entraînement.

Les Drakkars à l’entraînement. (©Yoann Robert)

Après avoir déjeuné, c’est l’heure d’effectuer pour beaucoup d’entre nous une sieste afin d’emmagasiner un maximum d’énergie pour le match ! 

Heureusement, les Caennais ont l'habitude...

Heureusement, les Caennais ont l’habitude… (©Yoann Robert)*

On profite aussi des beaux paysages pour se balader…

Jolie photo, Timur Rasulov !

Jolie photo, Timur Rasulov ! (©Timur Rasulov)

18h00, l’heure de la collation ! Moment apprécié par tous les joueurs…

Collation d'avant-match.

Collation d’avant-match. (©Yoann Robert)

19h50, échauffement d’avant-match.

L'échauffement d'avant-match.

L’échauffement d’avant-match. (©Yoann Robert)

Le ravitaillement de match !

Le précieux ravitaillement ! (©Yoann Robert)

23h00, la victoire est acquise ! C’est le moment de fêter la victoire mais aussi de récupérer des forces ! Ça a l’air bon, n’est-ce pas Mathis ?

Mathis Gente se restaure.

Mathis Gente se restaure. (©Yoann Robert)

Caen repartira pour une nouvelle nuit sur la route. Rien que du très classique dans la vie d’un hockeyeur pro. Le voyage a paru sûrement moins long après une belle victoire !


Toulouse. Réunions, contributions : où et comment participer au grand débat national

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En janvier, Emmanuel Macron a lancé le grand débat national au Grand Bourgtherould. Ce débat se poursuit désormais à l'échelon local et plusieurs communes de l'agglomération de Toulouse organisent ces moments d'échanges.

En janvier, Emmanuel Macron a lancé le grand débat national au Grand Bourgtherould. Ce débat se poursuit désormais à l’échelon local et plusieurs communes de l’agglomération de Toulouse organisent ces moments d’échanges. (©Courrier de l’Eure)

Suite à la crise provoquée par le mouvement des Gilets Jaunes, le gouvernement a décidé de lancer un grand débat sur tout le territoire national. Après plusieurs semaines de flou quant aux modalités de son organisation à Toulouse, la première réunion publique dédiée à ce moment d’échanges va avoir lieu à Toulouse, jeudi 7 février 2019, à l’initiative de la député LREM, Corinne Vignon. D’autres vont suivre. On vous donne le programme.

LIRE AUSSI : Grand débat national : y aura-t-il un (vrai) débat à Toulouse, quatrième ville de France ?

Où participer à Toulouse et dans on agglo?

Jeudi 7 février à Toulouse : à 18h30, salle Limayrac au 22, rue Xavier Darasse.

 

 

  • Samedi 9 février à Blagnac : à 16 heures, au théâtre Saint-Exupère rue Saint- Exupère, centre-ville. Proposé par la mairie de Blagnac.
    Samedi 9 février à Colomiers : de 9 heures à 12 heures, à l’auditorium du bâtiment Socrate, 23, boulevard Victor-Hugo à Colomiers. Proposé par la mairie de Colomiers.
    Vendredi 15 février à Roques-sur-Garonne : à 19h, à la salle des fêtes de Roques-sur-Garonne. Débat proposé par la députée LREM, Sandrine Morch.
    Vendredi 15 février, de 20h à 22h30 à Montrabé, salle polyvalente allée A.Candela. Un débat proposé par Les Maires de Beaupuy, Dremil Lafage, Flourens, Mondouzil, Mons, Montrabé et Pin Balma.

A chaque fois, les thèmes débattus seront ceux identifiés par le gouvernement :

  • La fiscalité et les dépenses publiques
     L’organisation des services publics
     La transition écologique
     La démocratie et la citoyenneté
      

 LIRE AUSSI : Grand débat national : ce qu’il faut savoir sur son organisation

Comment prendre part au débat d’ici au 15 mars ? 

Par courrier à l’adresse suivante : Mission grand débat – 244, bd Saint-Germain, 75 007 Paris.
Via des réunions d’initiatives locales.
Dans les conférences citoyennes régionales à partir du 1er mars : elles associeront des Français tirés au sort dans chaque région à des représentants de diverses parties prenantes.
Sur internet, avec la plateforme numérique du grand débat

Des formulaires à Toulouse

A Toulouse, la mairie a mis à disposition des formulaires dans les mairies de quartier.

Au total, « près de 30 points de débat » via ces formulaires seront ouverts jusqu’au 15 mars dans la Ville rose. La municipalité précise que « les contributions des Toulousains seront, ensuite, directement transmises à l’organisateur du Grand débat » et assure que « la collectivité n’en conservera pas copie ».

LIRE AUSSI : Grand débat national : à Toulouse, des formulaires à disposition dans les mairies de quartier

Gironde. Cdiscount va recruter plus de 400 personnes à Bordeaux

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Logistique, vente, informatique... Cdiscount va recruter dans plusieurs domaines en 2019.

Logistique, vente, informatique… Cdiscount va recruter dans plusieurs domaines en 2019. (©Le Républicain Sud-Gironde)

Cdiscount, le leader français de la vente à distance, annonce un recrutement massif de plus de 400 personnes en 2019 à Cestas, près de Bordeaux, en Gironde.

Après avoir recruté 450 CDI/CDD et 150 stagiaires ou alternants en 2018, l’entreprise veut rester sur cette dynamique en 2019, rapporte La Tribune Bordeaux.

Les recrutements seront effectués dans les domaines suivants : la logistique, la vente, l’informatique, ou encore les fonctions support.

Pour plus d’infos sur les postes, consultez le site https://emploi.cdiscount.com/offres-emploi/

À lire aussi : La Poste investit 30 millions d’euros pour une plateforme de tri des colis à Cadaujac

Top 5 des entreprises qui recrutent en Nouvelle-Aquitaine

Dans Le Parisien, la société est classée première dans le Top 5 des entreprises qui recrutent en Nouvelle-Aquitaine, suivie de :

  • CGI France (logiciels) au Haillan (Gironde) pour le recrutement de 250 postes
  • Keolis (transports urbains) à Bordeaux et Agen : 225 postes
  • Futuroscope (parc d’attractions) à Jaunay-Clan (Vienne) : 201 postes
  • Lauak (groupe aéronautique) à Hasparren (Pyrénées-Atlantiques) : 120 postes

Cotentin : deux épiceries vandalisées la même nuit

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Les dégradations sont importantes.

Les dégradations sont importantes à l’auberge-bar-épicerie des Tourelles, à Grosville. (©DP)

Alertée par le système d’alarme relié à son domicile, même si elle n’habite pas sur place, Lise Lecarrié, propriétaire de l’auberge-bar-épicerie des Tourelles, à Grosville,  aussitôt prévenu les gendarmes.

Les auteurs ont pris la fuite

Ces derniers sont arrivés très rapidement, une dizaine de minutes plus tard. Les auteurs avaient toutefois pris la fuite, sans rien dérober. Les gendarmes n’ont donc pu que constater les dégâts occasionnés aux vitrines et portes.

Plusieurs portes vitrées ont été dégradées. La vitrine aussi a été cassée. La chute d’un morceau de la vitrine dans le commerce a déclenché l’alarme. Réveillée par le bruit, ma voisine avait allumé la lumière. Les auteurs ont dû prendre peur. Mais ils ont au passage dégradé une vitre de son véhicule. 

A LIRE AUSSI : Restaurant de Catz : l’homme au fusil condamné à de la prison ferme

Une facture de plusieurs milliers d’euros

La propriétaire a reçu le soutien de nombreux clients venus dans la matinée aux nouvelles. Les dégâts sont en cours d’estimation, mais il faudra s’attendre à une facture de plusieurs milliers d’euros. Le commerce a pu toutefois être ouvert.

L’épicerie de Rauville-la-Bigot vandalisée aussi

À noter que durant la même nuit, l’épicerie de Rauville-la-Bigot a également été prise pour cible. La porte d’entrée a été vandalisée, sans qu’il n’y ait de vol, explique la gendarmerie. 

Plusieurs plaintes ont été déposées et une enquête a été ouverte. Pour le moment, aucun lien n’a été établi entre les deux affaires.

Coupe de France : fin de l'aventure pour le TFC, défait sèchement face à Nantes

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L'aventure de la Coupe de France s'arrête en huitièmes de finale pour Gen Shoji et le TFC.

L’aventure de la Coupe de France s’arrête en huitièmes de finale pour Gen Shoji et le TFC. (©Eddy Lemaistre/Icon Sport)

L’aventure s’arrête là en Coupe de France pour le Toulouse Football Club. Battus à Nantes en huitièmes de finale (2-0), les Violets voient leur parcours s’arrêter au même stade de la compétition que la saison dernière.

Et pourtant, Goicoechea a sauvé le TFC…

Il faut dire que les espoirs se sont vite envolés face à des Nantais entreprenants, qui ont rapidement ouvert le score grâce à Kalifa Coulibaly (9e, 1-0) d’une tête imparable pour Mauro Goicoechea. Le gardien toulousain n’a rien pu faire, quelques instants après s’être interposé devant Gabriel Boschilia (8e).

Le portier s’est mué en véritable dernier rempart, comme sur une frappe flottante d’Andrei Girotto (12e) ou sur la tentative d’Anthony Limbombe (16e). Ce dernier parviendra tout de même à doubler la mise avant la pause, avec de la réussite, son tir prenant à contre-pied le gardien du TFC après avoir été dévié (41e, 2-0).

L’addition aurait pu être plus lourde sans une nouvelle envolée salvatrice de Goicoechea sur une tête de Valentin Rongier (44e). Seule opportunité pour les joueurs d’Alain Casanova : une frappe de Corentin Jean venue raser la barre transversale (25e).

Timide réaction après la pause

Déjà mal en point, le « Téfécé » aurait pu être mis KO dès le retour des vestiaires, si Anthony Limbombe n’avait pas été signalé hors-jeu, lui qui pensait avoir inscrit un doublé (47e). Les Toulousains vont ensuite jouer leur va-tout pour tenter de revenir dans le match. Yaya Sanogo, au point de penalty, se heurte à Anton Cyprian Tatarusanu, le gardien nantais (62e), puis John Bostock voit sa frappe venir mourir au pied du poteau du but des Canaris (66e). Les joueurs de Vahid Halilhodzic auraient pu enfoncer le clou en toute fin de match mais Goicoechea a effectué deux arrêts décisifs face à Coulibaly (89e) et Valentin Eysseric (90+2e).

Le championnat désormais

Trois jours après la défaite à Monaco (2-1), Toulouse enchaîne donc un deuxième revers de rang avant de recevoir Reims, dimanche 10 février 2019, pour la 24e journée de Ligue 1. Et tenter de retrouver la victoire en championnat au Stadium, ce qui fuit les Toulousains depuis le 25 août 2018.

LIRE AUSSI : Ligue 1. Face au TFC, Monaco remporte son…premier match à domicile cette saison

Première en France : Mario Mousse, un nouveau concept de pizzeria, débarque près de Caen

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La vingtaine de salariés de la nouvelle pizzeria Mario Mousse est prête à accueillir les clients à partir de ce jeudi 7 février 2019, dans la zone d’activités de Mondeville, près de Caen (Calvados).

La vingtaine de salariés de la nouvelle pizzeria Mario Mousse est prête à accueillir les clients à partir de ce jeudi 7 février 2019, dans la zone d’activités de Mondeville, près de Caen (Calvados). (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

Un nouveau concept de pizzeria débarque dans la zone d’activités de Mondeville, près de Caen (Calvados), à côté du restaurant La Criée, rue Aristide Boucicault. Il s’agit de Mario Mousse, première enseigne du même nom en France, qui ouvre ce jeudi 7 février 2019.

LIRE AUSSI : Fragments, un restaurant 95 % bio et 90 % local ouvre à Caen

Pizzas carrées, jeux de société

On est un peu un OVNI. Dans les pizzerias traditionnelles, on trouve que c’est toujours un peu la même chose et on en a marre de devoir attendre, c’est pourquoi on a privilégié un mix entre une prise de commande à table pour garder du relationnel et aller chercher sa boisson et son dessert soi-même, précise Nicolas Nadreau, le directeur du restaurant mondevillais Mario Mousse.

L’enseigne va proposer des pizzas carrées, avec la possibilité de personnaliser sa recette. Le restaurant dispose d’un four allant jusqu’à 400°C et pouvant cuire 16 pizzas en même temps, « pour une pizza prête en deux minutes ». L’enseigne fait appel dès que possible aux produits et producteurs locaux (La Biergerie, la ferme des pâtis à Méry-Corbon).

« Que les clients repartent avec la banane »

Mario Mousse veut surtout créer une ambiance dans son restaurant, en donnant proposant des jeux de société à disposition, ainsi qu’un baby-foot.

Notre idée est de créer un concept où les clients peuvent s’amuser. On souhaite que tout le monde reparte avec la banane, reprend Nicolas Nadreau.

Des soirées à thème, ateliers et concerts vont également être mis en place petit à petit. Le lieu dispose également d’une pièce à part qui peut être privatisée, qui possède des écrans et qui retransmettra les événements sportifs.

LIRE AUSSI : À Caen, le restaurant italien Bruno Ristorante désormais tenu par un boxeur

Nicolas Nadreau, le directeur du restaurant mondevillais Mario Mousse.

Nicolas Nadreau, le directeur du restaurant mondevillais Mario Mousse. (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

Restaurant de 500 m2, environ 200 couverts

Projet ayant vu le jour il y a un an, Mario Mousse comprend un restaurant de 500 m² et peut accueillir 200 personnes dans la zone de restauration de Mondeville 2.

C’est un super emplacement. Vu que la route est maintenant à sens unique, tout le monde est obligé de passer devant chez nous. On ne souhaitait pas avoir les contraintes du centre-ville et on a pu construire notre restaurant de A à Z comme on le souhaitait.

Les travaux de construction ont débuté en août pour cet investissement qui s’élève à 2 millions d’euros. « Cela fait 15 ans que je travaille dans la zone de Mondeville 2, et j’attendais ce projet depuis des années. Quand cette super opportunité s’est présentée, j’ai foncé », souligne le directeur du restaurant.

LIRE AUSSI : Un nouveau restaurant ouvre à Ifs avec O’Simplissime, au sud de Caen

Un terrain de pétanque en cours de construction

Une terrasse d’environ 80 couverts est en cours de réalisation. Elle est attendue pour le printemps 2019 avec un terrain de pétanque. Une vingtaine de collaborateurs ont été recrutés pour cette ouverture et ont été formés durant deux semaines.

On avance dans l’inconnu mais on a hâte d’ouvrir.

Propriété du groupe Agapes restauration qui possède notamment les enseignes Flunch et Les 3 brasseurs, Mario Mousse est un nouveau concept amené à se développer. Après le premier restaurant de Mondeville, un second devrait ouvrir à Bordeaux fin 2019.

Informations pratiques : Mario Mousse, rue Boucicault à Mondeville. Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30 (jusqu’à minuit le samedi). Informations sur Facebook.

Toulouse : les "vérités" de Tisséo, épinglé par un rapport de la Chambre régionale des comptes

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Le projet de 3e ligne de métro a été au centre des attentions du rapport rendu par la cour régionale des compte d'Occitanie qui épingle la gestion de Tisséo

Le projet de 3e ligne de métro a été au centre des attentions du rapport rendu par la chambre régionale des compte d’Occitanie qui épingle la gestion de Tisséo (©Illustration/ Tisséo)

La Chambre régionale des comptes d’Occitanie a contrôlé, sur la période 2012-2016, c’est-à-dire pendant les mandats de maire de Pierre Cohen et de Jean-Luc Moudenc, la gestion de Tisséo, le syndicat mixte de transports en commun de l’agglomération de Toulouse, devenu Tisséo Collectivités en juillet 2017. En est ressorti un rapport, rendu public mercredi 6 février, mais qui a fuité dans la presse quelques jours avant sa parution.

LIRE AUSSI : Transports : à Toulouse, la gestion de Tisséo épinglée par la Chambre régionale des comptes

Un rapport qui a épinglé la gestion des transports en commun à Toulouse. Le travail de cette juridiction administrative financière a été présenté aux élus de Tisséo, alors, mercredi 6 février 2019, Jean-Michel Lattes, le président de Tisséo et Sacha Briand, son vice-président aux finances, ont répondu point par point aux observations levées par la chambre.

Sur la gestion du syndicat Tisséo

Ce qu’a dit la Chambre : « Le contrôle de la chambre a détecté un certain nombre d’anomalies ou d’irrégularités dans la gestion du syndicat : il assure indûment la trésorerie de Toulouse Métropole qui lui verse sa contribution avec un retard supérieur à un an, verse des primes à ses personnels sur des fondements incertains, bénéficie d’agents mis à disposition par Tisséo Voyageurs dans des conditions contraires à la réglementation et neutralise l’amortissement d’une partie de ses investissements, ce qui lui permet de financer cette charge de fonctionnement par de l’emprunt ».  

Selon ce rapport, Tisséo serait obligé de financer par l’emprunt des dépenses de fonctionnement pour pallier le fait que Toulouse Métropole paye sa contribution d’environ 100 millions d’euros avec un an de retard. En d’autres termes, ce mécanisme permet à Tisséo de contribuer à financer directement la trésorerie de Toulouse Métropole, ce qui l’oblige à emprunter en lieu et place de Toulouse Métropole. 

Ce que demande la chambre : « Rétablir la sincérité des comptes ».

Ce que lui répond Tisséo : « Aucun frais financier pour Tisséo en raison de ce décalage ». « Tisséo répond qu’elle va « engager un travail de clarification tant opérationnel que comptable, pour répondre à la demande de la chambre ». Tisséo « considère ainsi que la recommandation de la chambre es en cours de mise en œuvre ».

Mercredi 6 février, Sacha Briand est allé plus loin dans l’analyse :

La chambre n’a pas compris la cohérence de cette gestion et elle n’en a pas les compétences pour la comprendre. Il y a bien un décalage dans le versement de cette contribution, mais celui-ci se fait en pilotage avec le SMTC et à la demande du SMTC. Quand le SMTC a besoin de trésorerie, Toulouse Métropole verse sa contribution, s’il n’en a pas besoin, Toulouse Métropole ne le verse pas.

Et l’élu de poursuivre : « C’est un fonctionnement que j’assume, que j’ai assumé devant la chambre et qui continuera. Il résulte du fait qu’actuellement, Tisséo débute l’année avec une avance de trésorerie de 150 millions d’euros. Une avance due au fait qu’au départ de la mandature, au moment de la modification de l’ancien Plan de déplacements urbains, il y a eu une phase de tassement des investissements et que dans cette phase, Toulouse Métropole n’a pas réduit sa contribution volontaire (l’une des deux contributions que Toulouse Métropole vers à Tisséo avec la contribution obligatoire, ndlr). La stagnation de la contribution à un niveau élevé a fait que le fonds de roulement de Tisséo est aujourd’hui élevé en début d’année. Ce que nous pouvons assurer, c’est que ce décalage dans le versement de la contribution de Toulouse Métropole n’a engendré aucun frais financier pour Tisséo ».  

Sur des sommes qui auraient été indûment perçues par Tisséo

Ce que dit la chambre : « Tisséo a perçu le versement transport auprès d’entreprises implantées sur des territoires pour lesquels il avait perdu la compétence transports urbains ».

En 2017, la chambre a constaté que le syndicat a prélevé à nouveau le versement transport sur des communes qui, en droit, ne relevaient pas de son ressort territorial. Le montant s’élève à 8,2 millions d’euros. Ces entreprises sont aujourd’hui en droit de récupérer les sommes indûment perçues par Tisséo. 

Ce que lui répond Tisséo : Tisséo « insiste sur le service rendu aux usagers pendant la période considérée, en contrepartie de la perception du versement transport ».

Par ailleurs, le juge a effectivement tranché la question de la perception du versement transport sur le territoire de la Communauté d’Agglomération du Muretain. Dans cette affaire, Tisséo Collectivités a immédiatement pris acte de ce jugement et respecté ses obligations. Ce sujet est désormais clos.

Sur le financement de la 3e ligne de métro

Ce que dit la chambre : elle estime que ce projet ambitieux est entouré « d’incertitudes fortes ». 

Ce que lui répond Tisséo : « La chambre a raison de dire que le plan de financement doit être consolidé. Mais face aux points d’interrogations, nous avons des réponses de sécurisation solide », a assuré Sacha Briand mercredi matin. D’après Tisséo, une consolidation de la ‘soutenabilité’ financière de du projet sera présentée dans le cadre de l’enquête publique dont le dossier sera remis au préfet le jeudi 7 février.

Sur le calendrier de la 3e ligne de métro

Ce que dit la chambre : « En dépit des étapes franchies durant ces trois dernières années, les retards accumulés sur les phases amont (études préliminaires, choix des modalités de réalisation et de la maîtrise d’œuvre) compromettent la réalisation de la troisième ligne de métro dans le calendrier initialement prévu. La mise en service de la troisième ligne de métro, envisagée pour 2025, ne se ferait au mieux qu’en 2027 ».

LIRE AUSSI : Toulouse : la 3e ligne de métro ne se ferait au mieux qu’en 2027, selon la Chambre régionale des comptes

Ce que lui répond Tisséo : Mercredi matin, Jean-Michel Lattes, le président de Tisséo, a tenté de donner une réponse face aux doutes manifestés par la chambre régionale des comptes quant à la faisabilité de la ligne dans le calendrier imparti, soit désormais avant la fin de l’année 2025. Il a assuré :

« En 2015, nous avons énoncé un projet de ligne de métro et jusqu’ici, l’on s’y tient. Nous avons perdu un an dans le cadre d’un appel d’offres que nous avons rendu infructueux. Dans ce cas, nous avons choisi de perdre un an. Pour le reste, je suis toujours étonné que ceux (la chambre régionale des comptes, ndlr) qui critiquent ou émettent des doutes sur le calendrier n’apportent pas d’éléments tangibles. Sur quelle compétence la chambre régionale des comptes se base pour faire ce genre de remarque ? Eux sont des juristes quand nous pouvons, de notre côté, nous reposer sur l’expertise des ingénieurs ».

LIRE AUSSI : La 3e ligne de métro prend du retard à Toulouse : elle sera livrée au plus tôt en 2025 au lieu de 2024

Sur la hausse de la masse salariale et le traitement de l’ex-DG de Tisséo

Ce que dit la chambre : « La nouvelle organisation a eu pour effet d’augmenter sensiblement les effectifs, et plus substantiellement encore, la masse salariale », notent les magistrats.

Et le rapport de pointer du doigt un cas particulier :

« Le traitement réservé à l’ancien directeur général a été plus que complaisant. Recruté en décembre 2013, Jean-Marie Evin a vu sa rémunération augmenter de 18% en trois ans d’exercice, avec un salaire brut annuel de 178 837 euros en 2016, soit plus de 14 902 euros par mois« . En plus de sa voiture de fonction, le directeur bénéficiait également d’un logement, dont l’attribution est jugée « irrégulière » par les juges.

Ce que dit Tisséo : Tisséo indique dans sa réponse à la chambre régionale des comptes que « la mise en place de la nouvelle organisation en 2014 en lien avec une feuille de route, dont la Chambre reconnaît elle-même l’ambition, a conduit à une évolution maîtrisée des effectifs et en conséquence de la masse salariale ».

Mercredi matin, Tisséo a produit un chiffre : en 2018, la charge des salaires dans le fonctionnement du SMTC représenterait 0,82% du budget de fonctionnement de Tisséo Collectivités. Contre 1,42% en 2013.

Concernant le salaire de l’ancien DGS, Tisséo communique sur le salaire net de Jean-Marie Evin, soit 7 300 euros mensuels. « Tisséo n’est pas une structure où l’on peut verser les salaires que nous voulons. Nous sommes soumis à un contrôle de légalité », a rappelé Jean-Michel Lattes.

La différence entre les 7 300 euros évoqué chez Tisséo et les 14 902 euros évoqués par la chambre comprendrait les charges payées sur le salaire, mais aussi la contribution logement dont bénéficiait l’ancien DGS de Tisséo, ainsi que l’estimation de l’usage d’un véhicule qui lui était prêté dans le cadre de son activité.

Le festival des AOC de Cambremer va durer trois jours, avec l'Auvergne en invité d'honneur

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La 25e édition du festival des AOC/AOP de Cambremer aura lieu du 4 au 6 mai 2019.

La 25e édition du festival des AOC/AOP de Cambremer aura lieu du 4 au 6 mai 2019. (©Le Pays d’Auge)

L’agglomération Lisieux-Normandie a de grandes ambitions pour le festival des AOC de Cambremer (Calvados). La 25e édition aura lieu du 4 au 6 mai 2019. Cette année, l’invité d’honneur sera l’Auvergne

Une journée pour les professionnels

L’événement sera organisé sur trois jours, au lieu de deux habituellement. En plus du samedi et dimanche, ouverts au grand public, viendra désormais s’ajouter le lundi, réservé aux professionnels : producteurs, hôteliers, restaurateurs, distributeurs…

Un moyen de faire des rencontres, « et du business », ajoute François Aubey, président de l’agglo.

Devenir le premier festival français

Avec l’arrivée de Cambremer depuis le 1er janvier 2018, Lisieux-Normandie récupère aussi la gestion du festival, qui attire chaque année plus de 10 000 visiteurs : « C’est un événement majeur de l’agglomération ». Après une première année d’observation, François Aubey veut « passer à la vitesse supérieure ».

Dès cette édition et dans les années à venir, il souhaite attirer un plus grand nombre de visiteurs, d’exposants (ils sont en moyenne une cinquantaine), et qu’un maximum de produits d’appellation soient représentés, afin de devenir « le premier festival français des AOC et AOP ».

Une campagne de communication sera lancée dans les gares et aéroports locaux.

Soutenir le tourisme, l’agriculture et les produits

Tout ceci se fera en collaboration « avec les élus de Cambremer, les producteurs et les organismes de défense et de gestion ».

L’objectif de l’agglomération « n’est pas seulement de soutenir le tourisme, mais aussi l’agriculture locale et les produits d’appellation », souligne Benoit Charbonneau, vice-président.


Sarthe. La société Sopromo, à Duneau, liquidée : 32 salariés concernés

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La liquidation de l'entreprise Sopromo, à Duneau, a été prononcée le 24 janvier par le tribunal de commerce de Nantes, faute de repreneur.

La liquidation de l’entreprise Sopromo, à Duneau (Sarthe), a été prononcée le 24 janvier 2019 par le tribunal de commerce de Nantes, faute de repreneur.

Le 24 janvier 2019, le tribunal de commerce de Nantes a décidé de convertir la procédure de redressement judiciaire de l’entreprise Sopromo, basée à Duneau (Sarthe), en liquidation judiciaire.

32 salariés se retrouveraient sans emploi.

Un repreneur local

La centrale d’achat et de fabrication de parpaings en béton, est une filiale des Maisons Lelièvre, placées en redressement judiciaire le 5 octobre 2018, pour une durée de six mois, avant un nouvel examen de ses finances.

Lire aussi : Sarthe. Les Maisons Lelièvre en redressement judiciaire

 

Pourtant, un repreneur local s’était manifesté. Le tribunal nantais avait été saisi pour examiner l’offre de reprise le 9 janvier 2019.

Selon le compte rendu du jugement, le tribunal a estimé « ne pas disposer des éléments nécessaires pour se prononcer sur cette offre » et renvoyé l’affaire à l’audience du 23 janvier dernier. Audience à laquelle ledit repreneur ne s’est pas présenté.

Garanties insuffisantes : l’offre rejetée

Le jugement rapporte :

Le repreneur n’a pas fourni aux organes de la procédure, pas plus qu’au tribunal, des éléments établissant la réalité des garanties évoquées à l’audience du 9 janvier. Le tribunal ne peut que rejeter son offre. 

Et de stipuler :

La poursuite des activités de la société Sopromo étant en l’état impossible, il y a lieu de prononcer sa liquidation judiciaire. 

Université de Rouen : pourquoi les enseignants en informatique ne donnent plus de cours ?

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Les enseignants en informatiques ne donnent plus cours depuis plusieurs jours au Madrillet. L'Université de Rouen n'a toujours pas donné de réponse à leur colère.

Les enseignants en informatiques ne donnent plus cours depuis le 28 janvier 2019 au Madrillet. L’Université de Rouen n’a toujours pas donné de réponse à leur colère. (Illustration ©Adobe stock)

Les enseignants du département d’informatique ont décidé d’arrêter de donner leurs cours sur le site du Madrillet à Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) depuis le 28 janvier 2019. En cause, un manque d’effectifs sur lequel ils alertent depuis plusieurs mois. N’étant plus en capacité de dispenser certains cours, ils ont décidé de reporter la rentrée du second semestre pour faire réagir la présidence de l’université de Rouen. Ils souhaitent obtenir des postes d’enseignants pérennes et refusent les « emplois précaires et sous-payés ».

Lire aussi : L’université de Rouen « dénonce vivement » l’augmentation des frais pour les étudiants étrangers

Pas de réaction de la présidence

« Cela faisait déjà longtemps qu’on alertait sur cette situation (depuis juin 2018, NDLR) », regrette Eric Laugerotte, co-secrétaire général de la CGT Ferc Sup. Dans un communiqué, l’équipe enseignante précise :

Sur l’année 2017-2018, afin d’assurer la totalité des enseignements, les membres du département ont pris en charge environ un tiers de service complémentaire. Cela vient s’ajouter à une augmentation continue des tâches relatives aux autres missions.

Pour l’instant, l’action des enseignants n’a pas suscité de réaction de la part de la présidence. « J’ai encore réitéré une demande de rendez-vous ce matin (mercredi 6 février, NDLR) et je n’ai pas de réponse », détaille Eric Laugerotte. Les enseignants mobilisés pensent à se rendre directement dans les locaux de l’administration pour obtenir une entrevue si la situation n’évolue pas.

Un déficit en effectif qui s’aggrave

Le département d’informatique accueille 500 étudiants sur le site du Mardrillet de la licence au Master. « Malgré l’augmentation des sollicitations et des effectifs étudiants, le nombre d’intervenants a été réduit cette année. Par conséquent, le déficit s’est encore aggravé et correspond à l’équivalent de neuf postes d’enseignants-chercheurs à temps plein. »

Les problèmes des effectifs ne se limitent pas au seul département d’informatique. « Quand on discute avec les autres, on se rend compte que certains ont des problèmes pire que les nôtres, déplore le syndicaliste. Je pense notamment au département de Langues étrangères appliquées (LEA). »

Lire aussi : Parcoursup, manque de moyens : « la rentrée s’annonce très difficile » à l’Université de Rouen

• DOCUMENT : L’intégralité du communiqué du département d’informatique de l’université de Rouen :

Seine-et-Marne. Face aux inondations, un casier de stockage des eaux de la Seine à l'étude dans la Bassée

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Les travaux préparatoires devraient débuter fin 2020, pour une mise en service espérée fin 2023

Les travaux préparatoires devraient débuter fin 2020, pour une mise en service espérée fin 2023

Les crues de la Seine de juin 2016 et janvier 2018 ont laissé des traces dans la vallée de la Bassée, mais aussi le long du tracé francilien du fleuve. Pour tenter de maîtriser les futures montées des eaux, les pouvoirs publics ont donc tenté de trouver des solutions.

Parmi les projets envisagés, celui de l’aménagement d’une chaîne de dix espaces endigués dans la Bassée, dont un casier dit « pilote », qui devrait être mis en service en 2023.

Ce projet, dont le coût est estimé à 115 millions d’euros, s’inscrit dans le cadre du Programme d’actions pour la prévention des inondations (Papi) de la Seine et de la Marne. Il s’étendra sur les communes d’Égligny, Balloy, Châtenay-sur-Seine et Gravon, soit 360 ha pour une capacité de stockage de 10 millions de m³ d’eau, et 7,8 km de digues en terre compactée hautes de 3 m.

« Il aura pour but de canaliser les crues exceptionnelles de la Seine en amont de la confluence Seine-Yonne, de façon à faire baisser le niveau du fleuve de 8 à 10 cm sur toute sa portion aval, et notamment à Paris », explique Marc Vincent, directeur général des services techniques de l’Établissement public territorial du bassin Seine Grands Lacs (EPTB SGL), maître d’ouvrage et porteur technique du projet.

« Ne pas noyer définitivement »

Avant de poursuivre : « Le principe est de ne pas noyer définitivement un espace. Tout sera fait pour que la faune quitte la zone avant le remplissage qui durera environ deux jours et demi. Puis, après la décrue, les installations seront nettoyées de façon à ce que les activités agricoles puissent reprendre et que les animaux se réapproprient les lieux. » Les propriétaires des terres situées à l’intérieur du casier seront également indemnisés.

Mais le projet ne plaît pas à tout le monde. Véronique Stoppato, habitante de la région, suit le dossier depuis plus de 15 ans. Elle dénonce son coût et n’hésite pas à le qualifier de potentielle « catastrophe écologique ».

« On parle de 600 millions d’euros pour l’ensemble des 10 casiers, rappelle-t-elle. C’est un peu excessif non ? D’autant qu’une partie du projet sera financée par la taxe Gemapi, c’est-à-dire de l’argent public. Le territoire est déjà une zone humide d’expansion de crue naturelle. Elle fonctionne, utilisons-la. »

Autre grief envers le projet, les risques de pollution qu’entraînerait le pompage des eaux de la Seine, pour un site classé Natura 2 000 : « Tout ce qu’il y a dans la Seine va se retrouver dans les sols, les terres agricoles, prévient l’habitante. Notamment les radionucléides rejetés* par la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine. »

Enfin, Véronique Stoppato s’inquiète pour la faune et le devenir de la région : « Qui va dire aux animaux et autres reptiles de sortir de la zone ? Les digues m’inquiètent aussi, on a vu récemment qu’elles pouvaient céder face aux événements climatiques de plus en plus violents. »

Une enquête publique prévue en 2020

Dans un rapport intitulé « Mission sur le fonctionnement hydraulique du bassin de la Seine », rendu au Gouvernement en novembre 2016, l’Agence de l’eau et la Driee (Direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie) ne s’opposaient pas au projet.

Mais elles confirmaient cependant les trois éléments suivants : « L’efficacité des aménagements se réduit fortement pour les événements extrêmes », « le bassin-versant (de la Seine) est soumis à des pressions polluantes chimiques et thermiques d’origines diverses » et « ce qui est techniquement possible n’est pas nécessairement économiquement raisonnable et socialement ou environnementalement acceptable. »

Avant de recommander : « Les capacités naturelles du bassin, par exemple en termes d’expansion des crues ou de stockage d’eau souterraine, doivent être exploitées. »

Sur les rails, le projet de casier pilote de la Bassée fera l’objet d’une enquête publique en 2020.

* Dans son Rapport annuel 2017 d’information du public, la centrale ne publie pas de chiffres mais assure que « l’activité rejetée a respecté les seuils réglementaires annuels ».

Lambersart. Braquage à main armée dans une boutique de lingerie

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Un braquage à main armée a eu lieu à Lambersart, dans la métropole de Lille (Nord), ce mercredi 6 février 2019.

Un braquage à main armée a eu lieu à Lambersart, dans la métropole de Lille (Nord), ce mercredi 6 février 2019. (©Illustration/Actu.fr)

Il était aux alentours de 16 h ce mercredi 6 février 2019 lorsqu’un homme armé et cagoulé a pénétré dans le magasin Dyvany située avenue de Dunkerque à Lambersart, dans la métropole de Lille (Nord)

L’homme a menacé la commerçante en exigeant qu’elle lui remette le contenu de la caisse, avant de prendre la fuite à pied avec son butin, dont on ignore le montant », expliquent nos confrères de France 3.

Mais les policiers ont pu intervenir rapidement et interpellé le braqueur présumé près de la station de métro Canteleu. Il a été placé en garde à vue, une enquête est ouverte.

Lire aussi : Lambersart. Un homme de 55 ans se tue dans un accident après avoir percuté un garage

Val-d'Oise. Ouverture de la supérette : un vrai plus pour le quartier des Bayonnes à Herblay-sur-Seine

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Le maire, Philippe Rouleau, entouré de Charlène et Guillaume Hébert, les patrons de la supérette Coccinelle Express.

Le maire, Philippe Rouleau, entouré de Charlène et Guillaume Hébert, les patrons de la supérette Coccinelle Express. (©J.D., La Gazette du Val-d’Oise)

« Un commerce de proximité et bientôt un parc pour les enfants. C’est génial. Le quartier bouge », se félicite une habitante du quartier des Bayonnes, qui compte 750 logements à Herblay-sur-Seine (Val-d’Oise).

Samedi 2 février, en début d’après-midi, Guillaume et Charlène Hébert, patrons de la supérette Coccinelle Express de l’Esplanade des Frères-Lumière, ont inauguré « leur bijou ».

« C’est un vrai soulagement même si nous avons eu un problème de caisse ce matin (Ndlr : samedi 2 février) qui nous a obligé à ouvrir à 10h au lieu de 8h », explique Guillaume Hébert.

« On s’est acharné »

Dès l’ouverture, en moins de quatre heures, le magasin de 266 m2 et aux 4 000 références, a reçu 250 clients. « C’est vraiment encourageant pour la suite », se félicite le patron.

Et sa femme de lui emboîter le pas : « Nous sommes super contents. C’est l’aboutissement d’un an et demi de travail. On a imaginé ce magasin de A à Z. On s’est acharné. »

Et tout n’a pas été aisé. Notamment au niveau du financement du projet. Grâce au soutien de la mairie d’Herblay et d’Initiactive 95, le dossier a pu être bouclé.

« Il a fallu convaincre les banques, ça n’a pas été facile. En tant que fille de commerçants, je considère que c’est aussi un peu notre bébé », souligne Maryse Gourvennec, adjointe au maire chargée de l’emploi, de l’économie et du commerce.

Misant sur la carte de la proximité et l’accueil de son personnel (Ndlr : les deux patrons et trois salariés), la nouvelle supérette possède de bons atouts pour convaincre la future clientèle : rayons bio et oriental, livraison gratuite, coin snacking et pause-café, ouverture 365 jours dans l’année, entre autres.

« Ce nouveau commerce est tenu par des gens qui ont un super contact et un énorme potentiel. Il va être une superbe locomotive pour tout le quartier », conclut le maire (Lr) de la commune, Philippe Rouleau.

6-8, Esplanade des Frères-Lumière. Ouvert 7j/7 de 8h à 21h. Tél. : 01 34 50 21 22.

Près de Melun. Les gendarmes interpellent le braqueur du tabac de Grisy-Suisnes

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Le tabac de Grisy-Suisnes a  été braqué à l'heure de la fermeture

Le tabac de Grisy-Suisnes a été braqué à l’heure de la fermeture (©google street view)

Grâce à la vidéosurveillance, les gendarmes de la compagnie de Melun ont pu identifier le braqueur du tabac de Grisy-Suisnes, ainsi que le véhicule à bord duquel l’attendait son complice.

Les deux individus ont été interpellés ce lundi 4 février. Agés de 27 et 30 ans, ils sont domiciliés dans l’Essonne.

Le braquage avait été commis le 15 janvier dernier, vers 19 heures, à l’heure de la fermeture. Le malfaiteur, qui était muni d’une arme longue à canon scié était tombé nez-à-nez avec le commerçant qui s’était enfermé dans la réserve.

Le braqueur, n’ayant pu ouvrir le tiroir-caisse, était reparti bredouille…

Jugé en comparution immédiate ce mercredi 6 février, au tribunal correctionnel, il a été écroué.

Plus d’infos à venir ce jeudi.

Metz : feu vert pour la nouvelle tribune Sud de Saint-Symphorien

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La tribune Sud du stade Saint-Symphorien de Metz (Moselle) pourra être rénovée. Les travaux démarreront au printemps.

La tribune Sud du stade Saint-Symphorien de Metz (Moselle) pourra être rénovée. Les travaux démarreront au printemps. (©Wikimédia)

« Une nouvelle avancée considérable, voire historique ». Par ces mots, le FC Metz exprime toute sa satisfaction après l’annonce de la remise du permis de construire de la nouvelle tribune Sud du stade Saint-Symphorien.

Le maire de Longeville-lès-Metz (la commune sur laquelle est situé le stade), Alain Chapelain, a délivré le permis de construire au président du club, Bernard Serin.

LIRE AUSSI : FC Metz : le chantier de rénovation du stade Saint-Symphorien validé, une nouvelle tribune d’ici 2020

Une nouvelle tribune d’ici mi-2020

Cette validation intervient un peu moins d’un an après l’officialisation du projet de rénovation de la tribune, entériné le 3 mars 2018. Le club de Moselle affirme parvenir à se conformer à son calendrier prévisionnel.

Le FC Metz annonce que les travaux vont pouvoir commencer dès la fin de saison 2018-2019, au milieu du printemps. Une rénovation… peut-être pendant une saison en Ligue 1 ? Si le club parvenait à monter en fin de saison (ce qui est bien parti) et à se maintenir l’année suivante, il pourrait accueillir ses adversaires de l’élite avec une tribune Sud flambant neuve. Le FC Metz estime que l’ouvrage pourrait être livré d’ici l’été 2020.

La capacité du stade passera de 25 600 à 30 000 places.

LIRE AUSSI : Le stade Saint-Symphorien définitivement cédé au FC Metz par la Ville


Fédérale 1. Anglet conserve finalement sa victoire sur Oloron

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Le FCO estime quAnglet na pas gagné à la loyale.

Anglet garde les 4 points de la victoire contre le FC Oloron. (©AORC)

Un peu plus tôt dans l’après midi, nous vous annoncions qu’Oloron avait porté réclamation sur sa défaite contre Anglet lors de la 14e journée, la faute à des mêlées simulées qui n’ont pas plu au Béarnais.

LIRE AUSSI : Anglet pourrait avoir match perdu contre Oloron

Après avoir entendu Anglet et Oloron ce matin, la commission des règlements de la FFR a décidé de maintenir le résultat du match et les deux équipes conservent leurs points au classement.

Aéroport Toulouse-Blagnac : fini certaines destinations au soleil, la compagnie Germania dépose le bilan

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L'annulation concerne un avion de la compagnie low-coast Germania Airlines

La compagnie aérienne Germania a déposé le bilan et n’assurera plus les vols vers quatre destinations depuis Toulouse. (©Wikimedia Commons)

Mauvaise nouvelle pour les voyageurs qui souhaitaient partir en vacances avec Germania. La compagnie aérienne a annoncé, mardi 5 février 2019, mettre la clé sous la porte. L’aéroport Toulouse-Blagnac est concerné par cette annonce.

Plus de 100 000 voyageurs à Toulouse en 2018

En effet, des vols étaient possibles avec la compagnie depuis la Ville rose, lors de la période estivale, à destination de Dubrovnik (Croatie), Madère (Portugal), Oujda et Tanger (Maroc). En 2018, 109 075 personnes avaient voyagé au départ, et à l’arrivée, de Toulouse, sur ces trajets. La compagnie avait effectué son premier vol depuis le tarmac toulousain le 8 avril 2017.

Lire aussi : Dubrovnik, Madère, Fuerteventura… ce sont les nouvelles destinations au départ de Toulouse

Germania dépose donc le bilan, car « nous n’avons finalement pas été en mesure de mener à bien nos efforts de financement pour couvrir un besoin de liquidités à court terme », explique Karsten Balke, PDG de la compagnie, dans un communiqué, évoquant notamment « les augmentations massives des prix du carburant l’été dernier et l’affaiblissement simultané de l’euro par rapport au dollar américain ».

Certains passagers non remboursés

Surtout, certains voyageurs qui ont déjà réservé leur vol ne pourront pas être remboursés : « Pour les passagers ayant réservé directement avec Germania, il n’existe malheureusement aucun droit de substitution », indique Germania. Seuls ceux étant passés par un intermédiaire « peuvent contacter leur voyagiste respectif afin d’organiser un transport de substitution ».

Dubrovnik et Madère assurés par d’autres compagnies

Calvi et de Bastia sont les deux autres aéroports concernés par la fin de la compagnie aérienne. Contacté par Actu Toulouse, l’aéroport Toulouse-Blagnac assure qu’il y aura une liaison entre la Ville rose et Dubrovnik avec easyjet, du 25 juin au 30 août 2019, mais également grâce à des vols charters estivaux. Ces derniers permettront également de partir à Madère. En revanche, c’en est terminé pour les virées à Oujda et Tanger.

Gironde : le corps sans vie d'une femme découvert dans les vignes à Mazères

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Le corps sans vie de la disparue a été retrouvé dans les viggnes à Mazères (Gironde).

Le corps sans vie de la disparue a été retrouvé dans les viggnes à Mazères (Gironde). (©Le Républicain)

Les gendarmes de la compagnie de Langon-Toulenne ont retrouvé mardi 5 févier après-midi le corps sans vie d’une femme dans les vignes à Mazères (Gironde), à proximité d’une voiture.

Il s’agit de la femme de 54 ans portée disparue depuis le mercredi 30 janvier à La Brède.

A lire aussi :  Gironde. Accident sur l’autoroute A63 à Mios : circulation fortement perturbée

La gendarmerie de la Gironde avait lancé un appel à témoins pour une disparition inquiétante.

Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer les circonstances exactes du décès. 

Les sorties à faire dans le Vignoble nantais

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La compagnie Tàbola Rassa va revisiter les fables de La Fontaine à Gorges ce vendredi 8 février. (Crédit photo : Delphine Beaumont)

La compagnie Tàbola Rassa va revisiter les fables de La Fontaine à Gorges ce vendredi 8 février. (Crédit photo : Delphine Beaumont)

Théâtre

A Gorges le 8 février. Familière d’un théâtre inventif, la compagnie Tàbola Rassa propose une adaptation spectaculaire et déjantée de 15 fables de La Fontaine. A voir vendredi 8 février, 20 h 30, à la Stella auditorium du lycée Charles-Péguy. Tarifs : 18 €, réduit 12 €. Contact et réservation : 02 40 54 48 00, contact@la-stella-auditorium.fr, http://www.la-stella-auditorium.fr.

A Vieillevigne les 8 et 9 février. Les Passalactes interprètent la comédie d’Eric Delcourt : La sœur du Grec, les vendredi 8 et samedi 9 février à 20 h 30 à la salle Trianon. Les réservations sont possibles les mardis et jeudis de 18 h à 20 h au 06 85 28 03 01. A noter que les Apprentis sorciers se produiront en première partie de toutes les représentations (sauf le 9 février). Tarifs : 7 € (adultes), 5 € (étudiants), 3 € (enfants), gratuit pour les moins de 7 ans.

A La Haye-Fouassière les 8, 9 et 10 février. Dans une mise en scène de Gérard Guérif, les comédiens du Bois Geffray vont jouer Il court, il court le muret, une pièce de Jean-Claude Martineau et Annie Daprey. Les représentations auront lieu à l’Espace Sèvria, le samedi 9 février, le dimanche 10 février à 16 h et le vendredi 8 février à 20 h 30. Tarifs : 7 € (adulte), 3,50 € (enfant de 8 à 11 ans). Réservations sur www.lescomediensduboisgeffray.

Jeux

A Vallet le 8 février. Soirée jeux pour tous vendredi 8 février, 20 h 30, médiathèque. Cette soirée est aussi l’occasion de participer au festival Double 6 en notant les 6 nouveaux jeux en compétition. Une proposition de l’association Ludo’sphère. Entrée libre. Contact : 02 40 33 91 84, bibliotheques@cc-sevreloire.fr, http://bibliotheques.cc-sevreloire.fr.

Concerts

A Divatte-sur-Loire le 8 février. Le bar Bières et Potes à Divatte-sur-Loire (La Chapelle-Basse-Mer) propose un nouveau concert gratuit ce vendredi 8 février à 20 h. A l’affiche : Novae (répertoire rock). Contact au 09 80 99 71 36.

A Divatte-sur-Loire le 9 février. Carbon 13 (rock et reggae) sera en concert le samedi 9 février à 21 h, à la Brasserie de la Divatte à Divatte-sur-Loire (La Chapelle-Basse-Mer). Gratuit. Restauration sur place. Renseignements au 02 40 33 38 94.

A Saint-Julien-de-Concelles le 9 février. Le groupe Lily and the Peacemakers (reprises de rock et de blues) sera en concert le samedi 9 février à 20 h au bar MalthaZard. Gratuit. Contact : 02 40 69 11 53.

A Château-Thébaud le 9 février. L’école de musique Sol en vigne s’associe à la bibliothèque municipale pour une ballade musicale autour du continent américain. Une quinzaine d’élèves musiciens se produiront au cours de cette session acoustique qui sera ponctuée par des extraits littéraires. Samedi 9 février, 11 h, bibliothèque municipale. Gratuit. Contact : 02 40 12 11 91, bibliotheque@chateau-thebaud.fr.

Fest-noz

A Vertou le 9 février. Le Cercle Celtique de Vertou organise un fest-noz le samedi 9 février à partir de 20 h, salle Sèvre et Maine. A l’affiche : War-Sav, Talec-Noguet, Blain-Leyzour, les frères Badeau, A-Stroll ou encore Foll-Chevallier.

Humour

A Saint-Julien-de-Concelles le 9 février. Mars & Venus, Tempête au sein du couple, la comédie qui fait rire du couple, sera jouée samedi 9 février à 20 h 30, salle de la Quintaine. Tarifs : 30 €, réduit 16 €. Contact et réservation : 06 23 29 60 54, 06 23 29 60 54, assolesfousrires@gmail.com.

Palets

A Clisson le 9 février. Le club de foot de l’Etoile organise un concours de palets le samedi 9 février à partir de 18 h au gymnase Cacault. Equipe en doublette avec un jeu en laiton sur plomb. Tarif : 12 € par équipe. Lots : cochon ou bourriche. Restauration et bar sur place, Inscription : guillaume.espin@gmail.com ou 06 26 05 34 52.

Cartes

A Mouzillon le 9 février. Concours de belote sans annonce samedi 9 février, 13 h 30, salle des Tilleuls. Lots de viande pour toutes les équipes, un lot supplémentaire pour la première équipe féminine. Bar, grillades, pâtisseries, bourriche. Organisé par Etoile Mouzillon foot vétérans. Tarif : 14 € par équipe. Inscriptions en ligne possibles : http://bit.ly/belote19. Contact : 06 64 01 48 55.

A Saint-Julien-de-Concelles le 9 février. Concours de belote avec annonces samedi 9 février, 13 h 45, salle Quintana. Organisé par le club de l’Amitié. Un lot à chaque participant. Tarif : 7,50 €. Contact et réservation : 06 63 09 38 03.

A Boussay le 9 février. L’Asfeai, association de soutien aux familles d’enfants et adultes inadaptés, propose un concours de belote samedi 9 février, 14 h, salle des Arcades. Sans annonces. Inscription sur place à partir de 14 h. Un lot à chaque équipe. Bar, sandwichs et bourriches. Payant. Contact : http://www.asfeai.fr.

A Vertou le 9 février. Un concours de belote est organisé par UNC Vertou Beautour le samedi 9 février à l’espace Beautour, place de la Poste. Inscription à partir de 13 h 30. Début du concours à 14 h. Un lot à chaque participant. Tarif : 7,50 € par joueur. Renseignements : 06 10 63 51 19.

A La Bruffière le 10 février. Concours de belote dimanche 10 février, 14 h, salle polyvalente. Organisé par la société de chasse Saint-Bernard La Bruffière. Concours sans annonce. Un lot pour chaque participant. Tarif : 7,50 €.

Loto

A Basse-Goulaine le 10 février. L’AC Basse-Goulaine organise le dimanche 10 février un loto, de 14 h à 19 h, à la salle Paul Bouin. Plus de 65 lots à gagner. Tarif : 1 carte, 3 € ; 6 cartes, 15 € ; 10 cartes, 20 €. Paiement par carte bancaire possible. Inscriptions par mail à sosso.chauveau@hotmail.fr ou au 06 34 64 20 06.

Thés dansants

A Saint-Julien-de-Concelles le 10 février. Avec l’orchestre Didier Gilbert et organisé par l’interclub cantonal du Loroux-Bottereau et du Landreau, dimanche 10 février, 14 h 30, salle de la Quintaine. Tarifs : 10 €, avec boissons comprises et brioches.

A Vallet le 12 février. Avec l’orchestre Jean-Pierre-Legoff et organisé par les clubs du canton de Vallet, mardi 12 février, 14 h 30, le Champilambart. Tarif : 10 €.

Expositions

A Clisson jusqu’au 10 février. L’exposition-vente « Exp’O ma vie », au profit d’enfants malades, se tient jusqu’au dimanche 10 février, de 10 h 30 à 18 h 30, à la galerie du Minage. Entrée gratuite. Contact : expomavie44@gmail.com, www.omavie.org.

A Clisson du 15 février au 3 mars. Avec Les Pépettes.com en vacances à Clisson, Nathalie Clément fait voyager dans un univers serein et poétique avec des jeunes femmes rigolotes en peinture acrylique et en sculpture céramique. Elle les nomme les « Pépettes.com ». Du vendredi 15 février au dimanche 3 mars, de 10 h 30 à 18 h, galerie du Minage. Gratuit. Contact et réservation : 06 75 45 66 91, terresnathales@yahoo.fr, http://www.terresnathales.fr.

A Vertou jusqu’au 17 février. « D’où vient ma peinture ? Abstraction : comme Pollock ou Rotko. Géométrique : comme Mondrian ou Malevitch. Monochrome : comme Klein ou Soulages. Obsessionnelle : comme Opalka. » Tel sera la thème de l’exposition « Abstraction géométrique » qui se tiendra jusqu’au 17 février à l’Atelier du Moulin. L’artiste Jean-Yves Giraudeau tentera de répondre à cette question. Horaires d’ouverture au public du lundi au samedi de 14 h à 19 h et les dimanches de 10 h à 19 h.

Ateliers

A Gétigné le 13 février. « Apprenti sculpteur » : atelier à partir de 5 ans. François-Frédéric Lemot était un sculpteur de renom. Découvrez ce fabuleux métier grâce à un atelier de moulage en plâtre mercredi 13 février, 14 h 30, domaine de la Garenne Lemot. Pour les petits et pour les grands. Durée : 1 h 15. Tarif : 3 €. Réservation conseillée : 02 40 54 75 85, garenne.lemot@loire-atlantique.fr.

A Clisson le 13 février. « Etoffes du Moyen-Age » : atelier à partir de 4 ans. Il aura lieu mercredi 13 février, 14 h 30, au château. Les étoffes se cachent pour mieux se révéler aux petites mains qui vont les attraper. Caressez la laine, effleurez la soie et devinez comment habiller votre poupée à la mode médiévale. Durée : 1 h 15. Réservation conseillée. Tarif : 3 €. Réservation : 02 40 54 02 22, Chateau.clisson@loire-atlantique.fr.

Pont-l'Évêque : Le salon de thé Saint Honoré expose les œuvres de Swan Bardeau

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Swan Bardeau, dans son atelier de Pont-l’Évêque, le lieu où la magie créatrice opère.

Swan Bardeau, dans son atelier de Pont-l’Évêque, le lieu où la magie créatrice opère. (©Le Pays d’Auge)

Élève de peinture à la Maison des jeunes et de la culture (MJC), Swan Bardeau va exposer pour la toute première fois à la galerie/salon de thé Le Saint Honoré tout le mois de février. Une première pour cette mère de famille, passionnée par le dessin. « J’ai besoin d’images, il faut que j’en voie et que j’en fasse » appuie-t-elle alors qu’elle donne la touche finale au dernier tableau de son exposition.

La bande dessinée pour inspiration

Très influencée par la bande dessinée et par un imaginaire sans borne, Swan Bardeau aime peindre des paysages et des personnages. « J’aime dire que je fais du dessin à la peinture. Ce qui est fantastique, c’est que je vais prendre des personnages qui font des choses qui ne sont pas possibles dans le monde réel. J’aime mettre des touches de fantastiques dans mes créations ».

LIRE AUSSI : Pont-l’Évêque. Le Noël des créateurs prend ses quartiers au Saint Honoré

C’est suite à un déménagement que Swan Bardeau a décidé de s’inscrire au cours de peinture de la MJC il y a 5 ans. « J’y ai rencontré un autre élève de peinture qui avait exposé au Saint Honoré. Courant décembre, je suis donc allée voir le lieu que je ne connaissais pas et l’ambiance m’a plu, se remémore l’artiste. J’ai commencé à parler avec Jacques Plumas et Nicolas Boussin (cogérants du Saint Honoré, ndlr) et ils m’ont dit que le seul créneau disponible pour exposer était février. Sinon, c’était bien plus tard dans l’année, en septembre, mais je trouvais que c’était loin. J’ai donc saisi l’opportunité ».

Des mélanges de techniques à découvrir

Sauf qu’à ce moment-là, Swan Bardeau n’avait que 4 ou 5 peintures de prêtes pour l’exposition. Elle se met donc à peindre et à créer pour être prête pour l’ouverture de l’exposition. « Le reste, je l’ai un peu fait en quatrième vitesse. La prochaine fois, j’y réfléchirai à deux fois avant de me lancer dans une exposition pareille, lance-t-elle en rigolant. Les visiteurs pourront découvrir mon univers à travers mes travaux, ils sont tous très différents. J’utilise des mélanges de techniques puisque je m’intéresse à la fois à l’acrylique, à l’aquarelle, au stylo et même au collage ».

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À quelques heures du vernissage de sa première exposition, Swan Bardeau ne semble pas encore stressée. « J’étais tellement le nez dans mes tableaux que je n’ai pas encore réfléchi exactement à ce qui allait se passer. Je crois que je n’ai pas encore réalisé… Je vais peut-être paniquer au dernier moment mais pour l’instant, ça va ».

Pratique
Exposition Swan Bardeau, Peinture et Collage.
Du 1er au 27 février à la galerie/salon de thé Le Saint Honoré, 12, rue de la croix brisée, 14 130 Pont-l’Évêque.
Ouvert du jeudi au lundi de 9 h à 20 h.
Tél. 06 35 15 96 80.

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